Sur le vif
Dans le cadre de leurs efforts pour venir à bout de la violence intercommunautaire à Bagdad, les forces américaines ont entrepris la construction d'un mur de béton autour du quartier d'Adhamiya, enclave sunnite dans l'est principalement chiite de la capitale.
Les travaux ont débuté le 10 avril et l'ouvrage, qui pourra atteindre jusqu'à 3,5 mètres de hauteur, courra sur cinq kilomètres, écrit le sergent Mike Pryor, du service des relations publiques de l'US Army, dans un article diffusé par cette dernière.
"Ce mur est une des pièces maîtresses de la nouvelle stratégie des forces de la coalition et des forces irakiennes pour briser le cycle de la violence intercommunautaire", souligne-t-il.
Le Wall Street Journal avait rapporté il y a quelques jours qu'un projet analogue avait débuté autour de Doura, un autre quartier sunnite, dans le sud de la capitale.
Les responsables militaires américains à Bagdad se défendent toutefois de vouloir diviser la ville par communautés dans le cadre de la vaste opération de sécurisation lancée il y a deux mois.
"Ce n'est pas le but affiché du plan de sécurité de Bagdad que de tout diviser en petites communautés entourées de grilles", assure le lieutenant-colonel Christopher Garver, porte-parole de l'armée américaine.
Une fois le mur achevé, la seule manière d'entrer et de sortir d'Adhamiya sera de passer par des points de contrôle tenus par des soldats irakiens.
Les travaux ont débuté le 10 avril et l'ouvrage, qui pourra atteindre jusqu'à 3,5 mètres de hauteur, courra sur cinq kilomètres, écrit le sergent Mike Pryor, du service des relations publiques de l'US Army, dans un article diffusé par cette dernière.
"Ce mur est une des pièces maîtresses de la nouvelle stratégie des forces de la coalition et des forces irakiennes pour briser le cycle de la violence intercommunautaire", souligne-t-il.
Le Wall Street Journal avait rapporté il y a quelques jours qu'un projet analogue avait débuté autour de Doura, un autre quartier sunnite, dans le sud de la capitale.
Les responsables militaires américains à Bagdad se défendent toutefois de vouloir diviser la ville par communautés dans le cadre de la vaste opération de sécurisation lancée il y a deux mois.
"Ce n'est pas le but affiché du plan de sécurité de Bagdad que de tout diviser en petites communautés entourées de grilles", assure le lieutenant-colonel Christopher Garver, porte-parole de l'armée américaine.
Une fois le mur achevé, la seule manière d'entrer et de sortir d'Adhamiya sera de passer par des points de contrôle tenus par des soldats irakiens.
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