La Ligue arabe, réunie au Caire samedi 1er février à la demande de l'Autorité palestinienne, a affirmé son opposition au plan américain de règlement du conflit israélo-palestinien, trois jours après sa présentation par Donald Trump.
L'organisation panarabe, qui a rassemblé les ministres arabes des Affaires étrangères en présence du président palestinien Mahmoud Abbas, a motivé son opposition en déclarant que le plan est « injuste » envers les Palestiniens et « qu'il ne respecte pas les droits fondamentaux et les aspirations du peuple palestinien ».
Les ministres se sont ainsi engagés à ne pas coopérer avec les Etats-Unis pour la mise en oeuvre du plan.
La Ligue arabe a réaffirmé son souhait d'une solution à deux Etats, avec un Etat palestinien formé sur les frontières de 1967 qui a Jérusalem-Est pour capitale.
« Nous avons informé les Israéliens que nous n'entretiendrons plus aucune relation avec eux (les Israéliens) ni avec les Etats-Unis, y compris en matière de sécurité », a indiqué, pour sa part, Mahmoud Abbas.
Le président palestinien, qui a déclaré lors de la réunion qu'il avait refusé de prendre Donald Trump au téléphone pour discuter du plan de paix, ou même d'en recevoir un exemplaire écrit pour l'étudier, a appelé Israël à « prendre ses responsabilités en tant que puissance occupante ».
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L'organisation panarabe, qui a rassemblé les ministres arabes des Affaires étrangères en présence du président palestinien Mahmoud Abbas, a motivé son opposition en déclarant que le plan est « injuste » envers les Palestiniens et « qu'il ne respecte pas les droits fondamentaux et les aspirations du peuple palestinien ».
Les ministres se sont ainsi engagés à ne pas coopérer avec les Etats-Unis pour la mise en oeuvre du plan.
La Ligue arabe a réaffirmé son souhait d'une solution à deux Etats, avec un Etat palestinien formé sur les frontières de 1967 qui a Jérusalem-Est pour capitale.
« Nous avons informé les Israéliens que nous n'entretiendrons plus aucune relation avec eux (les Israéliens) ni avec les Etats-Unis, y compris en matière de sécurité », a indiqué, pour sa part, Mahmoud Abbas.
Le président palestinien, qui a déclaré lors de la réunion qu'il avait refusé de prendre Donald Trump au téléphone pour discuter du plan de paix, ou même d'en recevoir un exemplaire écrit pour l'étudier, a appelé Israël à « prendre ses responsabilités en tant que puissance occupante ».
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