Le numéro deux du gouvernement israélien Shimon Pères a affirmé qu’Israël refusait d’accepter telle quelle l’initiative de paix arabe. Il a souligné la nécessité de négociations.
Israël souhaite des modifications concernant les clauses du plan relatives à la question du droit au retour des réfugiés palestiniens et aux frontières du futur Etat palestinien. M. Pères a néanmoins estimé que "l’initiative arabe, comme position de départ à des négociations, constitue un pas positif".
Le sommet arabe de Riyadh a adopté mercredi à l’unanimité une résolution qui relance l’initiative de paix avec Israël adoptée en 2002 à Beyrouth.
La résolution réaffirme que "la paix juste et globale dans la région n’est réalisable qu’à travers un retrait israélien total des territoires palestiniens et arabes occupés, y compris le Golan syrien occupé et jusqu’à la ligne du 4 juin 1967, ainsi que les territoires qui sont encore occupés au Liban sud".
Elle estime que ce processus doit "aboutir à un règlement équitable et agréé du problème des réfugiés palestiniens conformément à la résolution 194 de l’Assemblée générale (...) et (pour aboutir) à la création d’un Etat palestinien indépendant et souverain avec Jérusalem-est pour capitale.
Israël souhaite des modifications concernant les clauses du plan relatives à la question du droit au retour des réfugiés palestiniens et aux frontières du futur Etat palestinien. M. Pères a néanmoins estimé que "l’initiative arabe, comme position de départ à des négociations, constitue un pas positif".
Le sommet arabe de Riyadh a adopté mercredi à l’unanimité une résolution qui relance l’initiative de paix avec Israël adoptée en 2002 à Beyrouth.
La résolution réaffirme que "la paix juste et globale dans la région n’est réalisable qu’à travers un retrait israélien total des territoires palestiniens et arabes occupés, y compris le Golan syrien occupé et jusqu’à la ligne du 4 juin 1967, ainsi que les territoires qui sont encore occupés au Liban sud".
Elle estime que ce processus doit "aboutir à un règlement équitable et agréé du problème des réfugiés palestiniens conformément à la résolution 194 de l’Assemblée générale (...) et (pour aboutir) à la création d’un Etat palestinien indépendant et souverain avec Jérusalem-est pour capitale.