Sur le vif
Jeudi, l'ambassadeur d'Iran en France Ali Ahani a été convoqué au ministère français des Affaires étrangères, à la suite de l'arrestation vendredi dernier de 15 marins britanniques par les forces iraniennes, selon le Quai d'Orsay. Faisant part de sa "vive préoccupation", Paris a demandé à Téhéran de "libérer dans les plus brefs délais les marins détenus".
"Nous avons marqué que l'arrestation de quinze marins de la Royal Navy par les autorités iraniennes, le 23 mars, suscitait une vive préoccupation de la part des autorités françaises", a précisé le porte-parole adjoint du ministère, après la convocation de l'ambassadeur iranien.
"Nous avons rappelé notre solidarité avec les Britanniques et demandé aux autorités iraniennes de libérer dans les plus brefs délais les marins détenus", a-t-il dit, ajoutant qu'"en attendant, les Iraniens doivent permettre l'exercice du droit de visite".
A Berlin, le président français Jacques Chirac, qui participait dimanche à son dernier sommet européen, avait apporté son soutien à la position britannique. "Nous avons tous affirmé notre totale solidarité avec la Grande-Bretagne", avait-il dit au cours de sa conférence de presse de clôture.
"Nous avons marqué que l'arrestation de quinze marins de la Royal Navy par les autorités iraniennes, le 23 mars, suscitait une vive préoccupation de la part des autorités françaises", a précisé le porte-parole adjoint du ministère, après la convocation de l'ambassadeur iranien.
"Nous avons rappelé notre solidarité avec les Britanniques et demandé aux autorités iraniennes de libérer dans les plus brefs délais les marins détenus", a-t-il dit, ajoutant qu'"en attendant, les Iraniens doivent permettre l'exercice du droit de visite".
A Berlin, le président français Jacques Chirac, qui participait dimanche à son dernier sommet européen, avait apporté son soutien à la position britannique. "Nous avons tous affirmé notre totale solidarité avec la Grande-Bretagne", avait-il dit au cours de sa conférence de presse de clôture.
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