Sur le vif
Le gouvernement néerlandais a convoqué le député d'extrême droite Geert Wilders pour le mettre en garde contre des "troubles" éventuels au cas où son film serait projeté, a indiqué un porte-parole du ministère de la Justice.
Le chef du parti PVV Geert Wilders a été reçu pendant un peu moins d'une heure par les ministres néerlandais de la Justice et des Affaires étrangères, a précisé Ivo Hommes, porte-parole du ministère de la Justice.
"Ils ont exprimé leur inquiétude sur les possibles conséquences et dégâts que pourrait provoquer le film sur les plan politique, économique et pour certaines personnes", a-t-il ajouté.
"Le gouvernement s'inquiète pour la réputation des Pays-Bas, les entreprises néerlandaises et la sécurité des Néerlandais résidant à l'étranger", avait affirmé la NOS après avoir interrogé Geert Wilders à l'issue de l'entrevue.
M. Wilders a assuré à la NOS qu'il restait "déterminé" à diffuser son film. La date de sa sortie en salles, prévue en mars, reste inconnue.
De nombreuses associations musulmanes néerlandaises ont déjà appelé les musulmans du pays au calme, les priant de ne pas répondre à la provocation.
L'Iran ou l'Egypte ont déjà exprimé leur indignation, menaçant les Pays-Bas d'un boycottage économique et déplorant les "attaques gratuites".
Le chef du parti PVV Geert Wilders a été reçu pendant un peu moins d'une heure par les ministres néerlandais de la Justice et des Affaires étrangères, a précisé Ivo Hommes, porte-parole du ministère de la Justice.
"Ils ont exprimé leur inquiétude sur les possibles conséquences et dégâts que pourrait provoquer le film sur les plan politique, économique et pour certaines personnes", a-t-il ajouté.
"Le gouvernement s'inquiète pour la réputation des Pays-Bas, les entreprises néerlandaises et la sécurité des Néerlandais résidant à l'étranger", avait affirmé la NOS après avoir interrogé Geert Wilders à l'issue de l'entrevue.
M. Wilders a assuré à la NOS qu'il restait "déterminé" à diffuser son film. La date de sa sortie en salles, prévue en mars, reste inconnue.
De nombreuses associations musulmanes néerlandaises ont déjà appelé les musulmans du pays au calme, les priant de ne pas répondre à la provocation.
L'Iran ou l'Egypte ont déjà exprimé leur indignation, menaçant les Pays-Bas d'un boycottage économique et déplorant les "attaques gratuites".
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