Ils font l’histoire de Christchurch en étant les premiers candidats de confession musulmane à se présenter aux élections locales en octobre. Il s’agit de Gamal Fouda, imam de la mosquée Al Noor, l’un des deux lieux de culte attaqués le 15 mars, et Zahra Hussaini.
« Être la voix pour non seulement la communauté musulmane, mais aussi la communauté dans son ensemble », « être capable de servir la communauté », voilà ce que plaide cette jeune interprète originaire d'Iran, voile vissée sur la tête, en vue de briguer un poste au conseil d’administration de la communauté de Waimari.
Gamal Fouda, quant à lui, espère obtenir un siège au sein du conseil de la communauté de Halswell-Hornby-Riccarton. Pour cet ancien instituteur venu d'Egypte en 2003, le tragique événement du 15 mars a été comme un déclic qui lui signifiait qu’il fallait « construire des ponts » entre la communauté musulmane et la ville tout entière.
« Après le 15 mars, toute notre communauté s’est rassemblée autour de nous. Nous avons été témoins d’amour et de compassion de la part de toute notre ville et nous en étions très reconnaissants », a déclaré Gamal Fouda à Stuff. Pour cet imam, se présenter aux élections représente une occasion de rendre ce témoignage d’amour à la communauté et pour lier les musulmans avec l'ensemble de la communauté.
« Dans notre ville, nous sommes déterminés à nous soutenir et à nous aimer les uns les autres », a-t-il signifié, qui veut voir « une communauté solide et connectée où tout le monde possède les mêmes opportunités est la meilleure façon de se protéger contre l’extrémisme et la haine ».
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« Être la voix pour non seulement la communauté musulmane, mais aussi la communauté dans son ensemble », « être capable de servir la communauté », voilà ce que plaide cette jeune interprète originaire d'Iran, voile vissée sur la tête, en vue de briguer un poste au conseil d’administration de la communauté de Waimari.
Gamal Fouda, quant à lui, espère obtenir un siège au sein du conseil de la communauté de Halswell-Hornby-Riccarton. Pour cet ancien instituteur venu d'Egypte en 2003, le tragique événement du 15 mars a été comme un déclic qui lui signifiait qu’il fallait « construire des ponts » entre la communauté musulmane et la ville tout entière.
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« Dans notre ville, nous sommes déterminés à nous soutenir et à nous aimer les uns les autres », a-t-il signifié, qui veut voir « une communauté solide et connectée où tout le monde possède les mêmes opportunités est la meilleure façon de se protéger contre l’extrémisme et la haine ».
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