Sur le vif
Hier en milieu de matinée, l'épouse de Rafik Khalifa, Nadia Amirouchane, et deux proches de l'ancien homme d'affaires algérien ont été interpellés à Paris a-t-on appris de source policière.
Domiciliés dans le centre de la capitale, Nadia Amirouchane, 34 ans, Ghazi Kebbache, l'ancien gérant de la banque Khalifa et Mohammed Nanouche, son ancien directeur général, âgés tous deux de 58 ans, ont été arrêtés dans la rue dans les 7e, 5e et 15e arrondissements par les policiers de l'Office central de lutte contre le crime organisé.
Ces trois personnes étaient recherchées par la justice algérienne après leur condamnation pour "association de malfaiteurs et escroqueries".
Ils ont été conduits au siège de la Direction centrale de la police judiciaire à Nanterre et devraient être présentés dans les heures qui viennent à un magistrat du Tribunal de grande instance de Paris.
Le procès de la Khalifa Bank, qui a duré deux mois et treize jours, s'est soldé le 22 mars par la condamnation par contumace à la réclusion à perpétuité du principal accusé, Abdelmoumene Rafik Khalifa pour "association de malfaiteurs, vol qualifié, détournement de fonds, faux et usage de faux".
Khalifa est sous le coup d'un mandat d'arrêt international délivré par l'Algérie, qui demande son extradition aux autorités britanniques. Il a trouvé refuge à Londres en 2003, l'année de l'effondrement de son empire.
Domiciliés dans le centre de la capitale, Nadia Amirouchane, 34 ans, Ghazi Kebbache, l'ancien gérant de la banque Khalifa et Mohammed Nanouche, son ancien directeur général, âgés tous deux de 58 ans, ont été arrêtés dans la rue dans les 7e, 5e et 15e arrondissements par les policiers de l'Office central de lutte contre le crime organisé.
Ces trois personnes étaient recherchées par la justice algérienne après leur condamnation pour "association de malfaiteurs et escroqueries".
Ils ont été conduits au siège de la Direction centrale de la police judiciaire à Nanterre et devraient être présentés dans les heures qui viennent à un magistrat du Tribunal de grande instance de Paris.
Le procès de la Khalifa Bank, qui a duré deux mois et treize jours, s'est soldé le 22 mars par la condamnation par contumace à la réclusion à perpétuité du principal accusé, Abdelmoumene Rafik Khalifa pour "association de malfaiteurs, vol qualifié, détournement de fonds, faux et usage de faux".
Khalifa est sous le coup d'un mandat d'arrêt international délivré par l'Algérie, qui demande son extradition aux autorités britanniques. Il a trouvé refuge à Londres en 2003, l'année de l'effondrement de son empire.
Qui sommes-nous ?
