Une éventuelle candidature
Le doute planait depuis plusieurs mois, en annonçant qu’il se retirait de la vie politique après son éviction au premier tour des présidentielles de 2002, l’ancien Premier secrétaire du parti socialiste multiplia les apparitions publiques et interventions médiatiques cette année.
Après s’être engagé comme simple militant dans la section socialiste du 18ème arrondissement de Paris, on le retrouve en faveur du « oui » lors du référendum sur la Constitution européenne en 2005. Lors de l’université d été du parti socialiste en août dernier, c’est un homme empli d’émotion que l’on retrouve. Enfin il n’a jamais exclu l’idée d’une troisième candidature en déclarant sur RTL qu’il mettait comme condition à sa candidature « possible » l’intention de fédérer les forces socialistes.
Après s’être engagé comme simple militant dans la section socialiste du 18ème arrondissement de Paris, on le retrouve en faveur du « oui » lors du référendum sur la Constitution européenne en 2005. Lors de l’université d été du parti socialiste en août dernier, c’est un homme empli d’émotion que l’on retrouve. Enfin il n’a jamais exclu l’idée d’une troisième candidature en déclarant sur RTL qu’il mettait comme condition à sa candidature « possible » l’intention de fédérer les forces socialistes.
Pour la cohésion du parti socialiste
Mais les sondages défavorables et le manque de soutien homogène de ses confrères socialistes, suite aux nombreuses divisions engendrées par le nombre de « présidentiables », eurent raison de ses éventuelles ambitions.
"Faute de pouvoir rassembler, je ne veux pas diviser, je ne veux pas fractionner", a-t-il déclaré sur RTL. Son retrait laisse donc le champ libre à Dominique Strauss Kahn, Laurent Fabius, Ségolène Royale, François Hollande et Jack Lang s’il réunit les trente parrainages nécessaire.
L’ensemble des socialistes saluèrent l’annonce de Lionel Jospin. Le porte-parole du PS, Julien Drey parle de « bonne chose » pour le parti socialiste. Laurent Fabius témoigne de son « sentiment de respect ».
"Faute de pouvoir rassembler, je ne veux pas diviser, je ne veux pas fractionner", a-t-il déclaré sur RTL. Son retrait laisse donc le champ libre à Dominique Strauss Kahn, Laurent Fabius, Ségolène Royale, François Hollande et Jack Lang s’il réunit les trente parrainages nécessaire.
L’ensemble des socialistes saluèrent l’annonce de Lionel Jospin. Le porte-parole du PS, Julien Drey parle de « bonne chose » pour le parti socialiste. Laurent Fabius témoigne de son « sentiment de respect ».
L’hostilité à la candidate socialiste]
Bien qu’elle soit la favorite des sondages au sein de sa formation politique, l’ancien Premier ministre a toutefois marqué son hostilité à la candidature de Ségolène Royale en déclarant « Je ne ferai pas ce choix ». Quant aux autres candidats, monsieur Jospin laisse entendre qu’il se déterminera le moment venu.
Il précise qu’il ne compte pas se retirer définitivement de la vie politique et souhaite peser sur le débat citoyen et les valeurs du parti socialiste.
Il précise qu’il ne compte pas se retirer définitivement de la vie politique et souhaite peser sur le débat citoyen et les valeurs du parti socialiste.