Le sommet arabe, qui s'ouvre mardi à Khartoum, annoncera son refus de "tout tracé unilatéral de frontière israélien", selon un projet de résolution adopté par les ministres arabes des Affaires étrangères réunis dimanche dans la capitale soudanaise.
Le sommet doit également appeler à la poursuite de l'aide internationale aux Palestiniens et au refus de "tout prétexte" pour les arrêter.
Le projet de résolution affirme "le refus des mesures unilatérales qu'entreprend Israël et que (ce pays) compte entreprendre dans les territoires palestiniens occupés en 1967, y compris à Jérusalem", selon le texte dont l'AFP a obtenu dimanche une copie.
Ce texte, qui sera soumis à l'approbation des chefs d'Etat arabes qui se réunissent mardi et mercredi à Khartoum, estime que le tracé de frontière "satisfait les visées expansionnistes israéliennes et rend impossible l'édification d'un Etat palestinien indépendant et souverain".
Le Premier ministre israélien par intérim Ehud Olmert a affirmé dimanche qu'Israël dessinerait ses frontières après des consultations internes et avec les Etats Unis sans nécessairement tenir compte de l'avis des Palestiniens.
"La paix juste, globale et durable ne peut être instaurée que par un retrait israélien total des territoires arabes occupés et l'édification d'un Etat palestinien indépendant et souverain en Cisjordanie et à Gaza avec Jérusalem-est pour capitale, et le retour des réfugiés palestiniens", indique le texte.
Mais le projet de résolution souligne que "l'instauration de cette paix exige des négociations directes entre les protagonistes sur la base de l'initiative de paix arabe et de la Feuille de route".
La Feuille de route, parrainée par un quartette international (Etats-Unis, Union européenne, Onu, Russie), prévoit une solution négociée au conflit israélo-palestinien.
L'initiative arabe de paix, adoptée lors du sommet de Beyrouth en 2002, exige un retrait israélien des territoires arabes occupés, y compris de Jérusalem-est et du Golan syrien, annexés par Israël, et prône une paix israélo-arabe globale.
Un autre projet de résolution appelle la communauté internationale à "poursuivre ses aides financières à l'Autorité palestinienne et à respecter le choix démocratique du peuple palestinien", en référence à la victoire électorale du mouvement islamiste Hamas, refusant "tout prétexte" pour arrêter ces aides.
L'Union européenne et les Etats-Unis menacent de revoir leur aide à l'Autorité palestinienne si le Hamas ne renonce pas à la violence et ne reconnaît pas Israël.
Ce projet de résolution confirme également la poursuite du soutien financier arabe aux Palestiniens conformément aux décisions des précédents sommets.
L'Autorité palestinienne se plaint du fait que la plupart des pays arabes n'ont pas honoré leurs engagements, pris lors du sommet d'Alger en 2005, de lui verser la somme de 55 M USD par mois.
Le sommet doit également appeler à la poursuite de l'aide internationale aux Palestiniens et au refus de "tout prétexte" pour les arrêter.
Le projet de résolution affirme "le refus des mesures unilatérales qu'entreprend Israël et que (ce pays) compte entreprendre dans les territoires palestiniens occupés en 1967, y compris à Jérusalem", selon le texte dont l'AFP a obtenu dimanche une copie.
Ce texte, qui sera soumis à l'approbation des chefs d'Etat arabes qui se réunissent mardi et mercredi à Khartoum, estime que le tracé de frontière "satisfait les visées expansionnistes israéliennes et rend impossible l'édification d'un Etat palestinien indépendant et souverain".
Le Premier ministre israélien par intérim Ehud Olmert a affirmé dimanche qu'Israël dessinerait ses frontières après des consultations internes et avec les Etats Unis sans nécessairement tenir compte de l'avis des Palestiniens.
"La paix juste, globale et durable ne peut être instaurée que par un retrait israélien total des territoires arabes occupés et l'édification d'un Etat palestinien indépendant et souverain en Cisjordanie et à Gaza avec Jérusalem-est pour capitale, et le retour des réfugiés palestiniens", indique le texte.
Mais le projet de résolution souligne que "l'instauration de cette paix exige des négociations directes entre les protagonistes sur la base de l'initiative de paix arabe et de la Feuille de route".
La Feuille de route, parrainée par un quartette international (Etats-Unis, Union européenne, Onu, Russie), prévoit une solution négociée au conflit israélo-palestinien.
L'initiative arabe de paix, adoptée lors du sommet de Beyrouth en 2002, exige un retrait israélien des territoires arabes occupés, y compris de Jérusalem-est et du Golan syrien, annexés par Israël, et prône une paix israélo-arabe globale.
Un autre projet de résolution appelle la communauté internationale à "poursuivre ses aides financières à l'Autorité palestinienne et à respecter le choix démocratique du peuple palestinien", en référence à la victoire électorale du mouvement islamiste Hamas, refusant "tout prétexte" pour arrêter ces aides.
L'Union européenne et les Etats-Unis menacent de revoir leur aide à l'Autorité palestinienne si le Hamas ne renonce pas à la violence et ne reconnaît pas Israël.
Ce projet de résolution confirme également la poursuite du soutien financier arabe aux Palestiniens conformément aux décisions des précédents sommets.
L'Autorité palestinienne se plaint du fait que la plupart des pays arabes n'ont pas honoré leurs engagements, pris lors du sommet d'Alger en 2005, de lui verser la somme de 55 M USD par mois.