Sur le vif
Et si on parlait des musulmans pour dire que tout va bien? Le journal Sud Ouest consacre un article à la communauté musulmane d'Orthez, dans le Béarn.
Pour le quotidien régional, la discrète Association musulmane d'Orthez est un exemple d'intégration. Dans son local, situé au 59 de la rue de Saint-Pierre, le trésorier de l'association, Abdelazziz Alouane, présente une image apaisée des relations entre les 60 familles musulmanes de la ville et les habitants. « Nous sommes une association ouverte à tous ceux qui voudraient s'intégrer à notre communauté. Ici, nous ne faisons pas un islam politique, qui est tout à fait autre chose », explique-t-il.
Une cohabitation qui se « passe très bien », affirme Abdelazziz. Cette vision est confirmée par l’ancien maire d'Orthez. « Lorsque j'étais directeur de l'école de la Chaussée-de Dax qui a ouvert en 1968, j'ai vu arriver les premières générations. Les premières vagues d'immigration avaient débuté dans les années 60 avec les Espagnols et les Portugais ensuite dans les années 70, les personnes issues du Maghreb sont arrivées », se rappelle-t-il.Tous avaient trouvé du travail dans les anciennes entreprises du bassin de Lacq. Des immigrés qui ont aujourd'hui enfants et petits-enfants dans leur pays d'accueil.
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Pour le quotidien régional, la discrète Association musulmane d'Orthez est un exemple d'intégration. Dans son local, situé au 59 de la rue de Saint-Pierre, le trésorier de l'association, Abdelazziz Alouane, présente une image apaisée des relations entre les 60 familles musulmanes de la ville et les habitants. « Nous sommes une association ouverte à tous ceux qui voudraient s'intégrer à notre communauté. Ici, nous ne faisons pas un islam politique, qui est tout à fait autre chose », explique-t-il.
Une cohabitation qui se « passe très bien », affirme Abdelazziz. Cette vision est confirmée par l’ancien maire d'Orthez. « Lorsque j'étais directeur de l'école de la Chaussée-de Dax qui a ouvert en 1968, j'ai vu arriver les premières générations. Les premières vagues d'immigration avaient débuté dans les années 60 avec les Espagnols et les Portugais ensuite dans les années 70, les personnes issues du Maghreb sont arrivées », se rappelle-t-il.Tous avaient trouvé du travail dans les anciennes entreprises du bassin de Lacq. Des immigrés qui ont aujourd'hui enfants et petits-enfants dans leur pays d'accueil.
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