Un tag raciste a été découvert, lundi 29 janvier, par les fidèles de la mosquée Arrahma, située dans les quartiers nord de Marseille. « Enculé, sale arabes » (sic), pouvait-on lire dans un mur de l’édifice religieux, inauguré en mai 2023.
« Le racisme n’a pas sa place dans notre ville », a fait savoir sur X le maire Benoît Payan, qui a condamné « avec la plus grande fermeté » le tag. « Dès que nous en avons été informés, les services de la ville ont immédiatement agi pour les effacer », a-t-il précisé.
Cette dégradation est une première dans la jeune histoire de la mosquée, qui a déposé plainte contre X. « Nous préférons croire qu'il s'agit de l'acte isolé de quelques individus et non d'une représentation fidèle de notre société dans son ensemble », a fait savoir, dans un communiqué daté du mardi 30 janvier, le Collectif des musulmans du 14e arrondissement de Marseille, gestionnaire du lieu de culte. « Nous condamnons fermement ces propos vulgaire, haineux et avons confiance en la justice pour identifier et sanctionner les coupables. »
Son président Abdel Malek Benlahssania s’est dit « touché » par l’élan de solidarité de la part de nos concitoyens marseillais : « Cette réaction positive souligne la force et l'unité de notre communauté face aux défis. Elle témoigne également de la volonté collective de préserver l'esprit de fraternité et de tolérance qui caractérise notre ville. »
« Cet incident doit être une occasion pour renforcer davantage les relations intercommunautaires favorisant le partage et l'échange. Une vigilance accrue et des réponses adaptées à ce type de comportement sont essentielles afin d'éviter que de tels événements ne se reproduisent, quel que soit le groupe visé », a-t-il indiqué, remerciant la ville de Marseille « pour sa réaction rapide et appropriée à cet incident », à savoir l'effacement immédiat de ces graffitis haineux, « un témoignage de leur engagement envers le respect de tous les lieux de culte et la protection de l'harmonie sociale ».
Lire aussi :
Marseille inaugure en grande pompe une nouvelle mosquée dans les quartiers nord
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Cette dégradation est une première dans la jeune histoire de la mosquée, qui a déposé plainte contre X. « Nous préférons croire qu'il s'agit de l'acte isolé de quelques individus et non d'une représentation fidèle de notre société dans son ensemble », a fait savoir, dans un communiqué daté du mardi 30 janvier, le Collectif des musulmans du 14e arrondissement de Marseille, gestionnaire du lieu de culte. « Nous condamnons fermement ces propos vulgaire, haineux et avons confiance en la justice pour identifier et sanctionner les coupables. »
Son président Abdel Malek Benlahssania s’est dit « touché » par l’élan de solidarité de la part de nos concitoyens marseillais : « Cette réaction positive souligne la force et l'unité de notre communauté face aux défis. Elle témoigne également de la volonté collective de préserver l'esprit de fraternité et de tolérance qui caractérise notre ville. »
« Cet incident doit être une occasion pour renforcer davantage les relations intercommunautaires favorisant le partage et l'échange. Une vigilance accrue et des réponses adaptées à ce type de comportement sont essentielles afin d'éviter que de tels événements ne se reproduisent, quel que soit le groupe visé », a-t-il indiqué, remerciant la ville de Marseille « pour sa réaction rapide et appropriée à cet incident », à savoir l'effacement immédiat de ces graffitis haineux, « un témoignage de leur engagement envers le respect de tous les lieux de culte et la protection de l'harmonie sociale ».
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