La ministre de la Défense, Michèle Alliot-Marie, n'exclut pas d'être candidate à la prochaine élection présidentielle et prendra sa décision début 2007.
"Le temps n'est pas venu, je n'exclus rien. On verra début 2007. Pour l'instant, j'agis dans le cadre de la mission qui m'est confiée", déclare-t-elle dans une interview à la Provence, à paraître vendredi.
Tout en estimant qu'il faut, en politique, "savoir s'effacer devant l'intérêt général", Michèle Alliot-Marie juge normal de se tenir prêt à assumer de nouvelles missions.
"J'ai une certaine idée de la France et de la politique, aussi. En politique, il faut savoir s'effacer devant l'intérêt général mais aussi quand on a atteint certaines fonctions, se tenir prêt à assumer toute nouvelle situation ou mission", explique l'ex-présidente du RPR.
Selon elle, "les sujets traités au ministère de la Défense sont extrêmement variés", la défense étant par exemple "le premier investisseur et le premier employeur du pays".
Interrogée sur les discussions qui s'engagent sur le CPE, Michèle Alliot-Marie récuse l'idée que les discussions se fassent sous l'égide du président de l'UMP, Nicolas Sarkozy.
"Les interlocuteurs des syndicats sont les présidents des groupes UMP de l'assemblée et du Sénat, Bernard Accoyer et Josselin de Rohan", explique-t-elle.
"Dans leur fonction législative, les présidents des groupes parlementaires ne sont sous l'égide ou sous l'autorité de personne, pas même du président de l'UMP", ajoute-t-elle.
"Le temps n'est pas venu, je n'exclus rien. On verra début 2007. Pour l'instant, j'agis dans le cadre de la mission qui m'est confiée", déclare-t-elle dans une interview à la Provence, à paraître vendredi.
Tout en estimant qu'il faut, en politique, "savoir s'effacer devant l'intérêt général", Michèle Alliot-Marie juge normal de se tenir prêt à assumer de nouvelles missions.
"J'ai une certaine idée de la France et de la politique, aussi. En politique, il faut savoir s'effacer devant l'intérêt général mais aussi quand on a atteint certaines fonctions, se tenir prêt à assumer toute nouvelle situation ou mission", explique l'ex-présidente du RPR.
Selon elle, "les sujets traités au ministère de la Défense sont extrêmement variés", la défense étant par exemple "le premier investisseur et le premier employeur du pays".
Interrogée sur les discussions qui s'engagent sur le CPE, Michèle Alliot-Marie récuse l'idée que les discussions se fassent sous l'égide du président de l'UMP, Nicolas Sarkozy.
"Les interlocuteurs des syndicats sont les présidents des groupes UMP de l'assemblée et du Sénat, Bernard Accoyer et Josselin de Rohan", explique-t-elle.
"Dans leur fonction législative, les présidents des groupes parlementaires ne sont sous l'égide ou sous l'autorité de personne, pas même du président de l'UMP", ajoute-t-elle.