Sur le vif
Le président du Parlement libanais, le prosyrien Nabih Berri, qui a refusé une nouvelle fois cette semaine de réunir l'assemblée afin de ratifier la création d'un tribunal international pour juger les assassins de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri, a demandé à l'Arabie saoudite d'organiser une réunion internationale pour tenter de sortir de l'impasse, a déclaré jeudi le secrétaire général des Nations unies.
L'initiative de M. Berri intervient suite à l'envoi d'un mémorandum de la majorité parlementaire réclamant à l'ONU qu'elle établisse le tribunal sans la ratification du Parlement libanais. Signé par 70 des 128 élus au Parlement, ce texte demande que le secrétaire général Ban Ki-moon agisse en vertu d'un accord signé en 2006 entre le gouvernement libanais et l'ONU.
Mardi, M. Berri avait refusé pour la troisième fois en trois semaines de réunir le Parlement. L'opposition prosyrienne, dont le Hezbollah, réclame la formation d'un gouvernement d'union nationale.
Rafic Hariri a été tué le 14 février 2005 dans un attentat à Beyrouth que beaucoup attribuent aux services syriens.
L'initiative de M. Berri intervient suite à l'envoi d'un mémorandum de la majorité parlementaire réclamant à l'ONU qu'elle établisse le tribunal sans la ratification du Parlement libanais. Signé par 70 des 128 élus au Parlement, ce texte demande que le secrétaire général Ban Ki-moon agisse en vertu d'un accord signé en 2006 entre le gouvernement libanais et l'ONU.
Mardi, M. Berri avait refusé pour la troisième fois en trois semaines de réunir le Parlement. L'opposition prosyrienne, dont le Hezbollah, réclame la formation d'un gouvernement d'union nationale.
Rafic Hariri a été tué le 14 février 2005 dans un attentat à Beyrouth que beaucoup attribuent aux services syriens.
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