Sur le vif
Jeudi, des dizaines de journalistes et de diplomates se sont réunis devant le siège de l'ONU à New York pour réclamer la libération immédiate du journaliste de la BBC Alan Johnston, enlevé en mars dans la bande de Gaza.
Lors de cette manifestation, organisée par les collègues d'Alan Johnston à la BBC à l'occasion de la Journée de la liberté de la presse, la vice-secrétaire générale des Nations Unies, Asha-Rose Migiro, a appelé à la libération du journaliste britannique.
L'ambassadeur de Grande-Bretagne à l'ONU, Emyr Jones Parry, était également présent.
"Il n'y a rien à gagner à retenir Alan (...) nous prions et espérons que ceux qui le détiennent feront ce qui est bien et honorable: nous le rendre rapidement et en bonne santé", a déclaré Martin Bashir, présentateur de l'émission Nightline d'ABC News.
Dans un message publié à l'occasion de la Journée de la liberté de la presse, le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, qui participait jeudi à Charm el-Cheikh (Egypte) à une conférence internationale sur la reconstruction de l'Irak, a lui aussi appelé à la "libération immédiate" d'Alan Johnston.
"La poursuite de sa captivité ne peut servir aucune cause", affirme M. Ban dans cette déclaration. "Les attaques contre la liberté de la presse sont des attaques contre le droit international, contre l'humanité, contre la liberté elle-même, contre tous les idéaux des Nations Unies", ajoute-t-il.
Son appel a été repris par la Bahreinie Haya Rashed Al Khalifa, présidente cette année de l'Assemblée générale de l'ONU, selon laquelle "non seulement Alan Johnston, mais aussi chaque journaliste emprisonné illégalement doit être libéré".
Lors de cette manifestation, organisée par les collègues d'Alan Johnston à la BBC à l'occasion de la Journée de la liberté de la presse, la vice-secrétaire générale des Nations Unies, Asha-Rose Migiro, a appelé à la libération du journaliste britannique.
L'ambassadeur de Grande-Bretagne à l'ONU, Emyr Jones Parry, était également présent.
"Il n'y a rien à gagner à retenir Alan (...) nous prions et espérons que ceux qui le détiennent feront ce qui est bien et honorable: nous le rendre rapidement et en bonne santé", a déclaré Martin Bashir, présentateur de l'émission Nightline d'ABC News.
Dans un message publié à l'occasion de la Journée de la liberté de la presse, le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, qui participait jeudi à Charm el-Cheikh (Egypte) à une conférence internationale sur la reconstruction de l'Irak, a lui aussi appelé à la "libération immédiate" d'Alan Johnston.
"La poursuite de sa captivité ne peut servir aucune cause", affirme M. Ban dans cette déclaration. "Les attaques contre la liberté de la presse sont des attaques contre le droit international, contre l'humanité, contre la liberté elle-même, contre tous les idéaux des Nations Unies", ajoute-t-il.
Son appel a été repris par la Bahreinie Haya Rashed Al Khalifa, présidente cette année de l'Assemblée générale de l'ONU, selon laquelle "non seulement Alan Johnston, mais aussi chaque journaliste emprisonné illégalement doit être libéré".
Qui sommes-nous ?
