Sur le vif
Invitée ce mercredi 23 janvier de la chaîne de télévision France 2, la secrétaire d'état à la Ville Fadela Amara a répondu aux critiques formulées par sa ministre de tutelle Christine Boutin la veille, cette dernière estimant que Mme Amara avait "manqué de prudence".
"Christine Boutin a une approche un peu particulière sur la politique de la ville. On a eu des discussions, moi je pense qu'il faut des politiques particulières pour les quartiers en difficulté et elle a une approche globale", a déclaré Fadela Amara, ajoutant : "Je n'ai pas le temps de la querelle. Elle comme moi, on pense que c'est stérile".
"On est ambitieux", a précisé la secrétaire d'état, précisant que "l'idée, c'est de passer par tous les leviers qui vont permettre de sécuriser les parcours professionnels des jeunes, on va chercher des jeunes qui sont en situation de désoeuvrement pour leur permettre de rentrer dans des formations".
Estimant qu'il y avait eu jusqu'ici "trop de saupoudrage", Fadela Amara a déclaré avoir "décidé de réduire et de mettre le paquet sur les quartiers les plus difficiles", à savoir "100 à 200 quartiers".
"Christine Boutin a une approche un peu particulière sur la politique de la ville. On a eu des discussions, moi je pense qu'il faut des politiques particulières pour les quartiers en difficulté et elle a une approche globale", a déclaré Fadela Amara, ajoutant : "Je n'ai pas le temps de la querelle. Elle comme moi, on pense que c'est stérile".
"On est ambitieux", a précisé la secrétaire d'état, précisant que "l'idée, c'est de passer par tous les leviers qui vont permettre de sécuriser les parcours professionnels des jeunes, on va chercher des jeunes qui sont en situation de désoeuvrement pour leur permettre de rentrer dans des formations".
Estimant qu'il y avait eu jusqu'ici "trop de saupoudrage", Fadela Amara a déclaré avoir "décidé de réduire et de mettre le paquet sur les quartiers les plus difficiles", à savoir "100 à 200 quartiers".
Qui sommes-nous ?
