Sur le vif
Hier après-midi, le président russe Vladimir Poutine a téléphoné à son homologue français Nicolas Sarkozy pour le féliciter de son élection, selon le porte-parole de l'Elysée David Martinon. Les deux hommes ont convenu de se rencontrer en marge du G8 en Allemagne, début juin.
M. Poutine "l'a félicité" et s'est dit "ravi de le voir à Heiligendamm", selon M. Martinon. Nicolas Sarkozy a quant à lui "assuré son homologue russe de l'importance qu'il attachait au maintien et au développement de relations privilégiés entre nos deux pays".
"La Russie est une grande nation et je mesure la force qu'il vous a fallu pour assurer sa stabilité", a déclaré Nicolas Sarkozy à son interlocuteur. "Je mesure également les efforts qu'a dû faire le peuple russe pour surpasser les soubresauts de l'histoire. En matière internationale, le monde a besoin d'une position ouverte de la Russie."
Le président français a affirmé qu'il "se réjouissait d'avoir avec le président Poutine un dialogue franc, confiant et régulier". Selon M. Martinon, "Nicolas Sarkozy a dit à Vladimir Poutine qu'il était un homme à qui on pouvait parler".
Le candidat UMP avait eu des mots assez durs à l'égard de la Russie pendant la campagne présidentielle, pour condamner notamment le silence de la France sur la situation en Tchétchénie.
M. Poutine "l'a félicité" et s'est dit "ravi de le voir à Heiligendamm", selon M. Martinon. Nicolas Sarkozy a quant à lui "assuré son homologue russe de l'importance qu'il attachait au maintien et au développement de relations privilégiés entre nos deux pays".
"La Russie est une grande nation et je mesure la force qu'il vous a fallu pour assurer sa stabilité", a déclaré Nicolas Sarkozy à son interlocuteur. "Je mesure également les efforts qu'a dû faire le peuple russe pour surpasser les soubresauts de l'histoire. En matière internationale, le monde a besoin d'une position ouverte de la Russie."
Le président français a affirmé qu'il "se réjouissait d'avoir avec le président Poutine un dialogue franc, confiant et régulier". Selon M. Martinon, "Nicolas Sarkozy a dit à Vladimir Poutine qu'il était un homme à qui on pouvait parler".
Le candidat UMP avait eu des mots assez durs à l'égard de la Russie pendant la campagne présidentielle, pour condamner notamment le silence de la France sur la situation en Tchétchénie.
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