Entrée du Conseil constitutionnel
Douze postulants à l'Elysée
Lundi, le conseil constitutionnel a annoncé la liste officielle des douze postulants à l'Elysée.
Cette proclamation par Jean-Louis Debré, tout nouveau président de cette institution, a mis fin au dernier suspense pesant sur l'altermondialiste José Bové, qualifié in extremis.
M. Debré a précisé que 16.900 formulaires avaient été reçus et que 16.615 avaient été validés.
La liste dans l'ordre officiel est: Olivier Besancenot (Ligue Communiste Révolutionnaire), Marie-George Buffet (PCF), Gérard Schivardi ("candidat des maires", soutenu par le Parti des Travailleurs), François Bayrou (UDF), José Bové (altermondialiste), Dominique Voynet (Verts), Philippe de Villiers (Mouvement pour la France), Ségolène Royal (PS), Frédéric Nihous (Chasse, pêche nature et traditions), Jean-Marie Le Pen (Front national), Arlette Laguiller (Lutte Ouvrière), Nicolas Sarkozy (UMP).
Cette proclamation par Jean-Louis Debré, tout nouveau président de cette institution, a mis fin au dernier suspense pesant sur l'altermondialiste José Bové, qualifié in extremis.
M. Debré a précisé que 16.900 formulaires avaient été reçus et que 16.615 avaient été validés.
La liste dans l'ordre officiel est: Olivier Besancenot (Ligue Communiste Révolutionnaire), Marie-George Buffet (PCF), Gérard Schivardi ("candidat des maires", soutenu par le Parti des Travailleurs), François Bayrou (UDF), José Bové (altermondialiste), Dominique Voynet (Verts), Philippe de Villiers (Mouvement pour la France), Ségolène Royal (PS), Frédéric Nihous (Chasse, pêche nature et traditions), Jean-Marie Le Pen (Front national), Arlette Laguiller (Lutte Ouvrière), Nicolas Sarkozy (UMP).
Egalité de temps de parole
Les candidats sont moins nombreux que le record de 16 établi en 2002.
7 sont à gauche, 3 à droite, deux (Bayrou, Nihous) disent refuser ce clivage.
Quatre femmes se présentent, un tiers du total, proportion jamais atteinte.
L’annonce de la liste officielle des candidats lance une nouvelle phase de la campagne électorale, marquée par l'égalité de temps de parole.
7 sont à gauche, 3 à droite, deux (Bayrou, Nihous) disent refuser ce clivage.
Quatre femmes se présentent, un tiers du total, proportion jamais atteinte.
L’annonce de la liste officielle des candidats lance une nouvelle phase de la campagne électorale, marquée par l'égalité de temps de parole.
Sarkozy se réjouit d'avoir 11 concurrents
Nicolas Sarkozy s'est réjoui lundi que 12 candidats soient en lice pour l'élection présidentielle, car "il faut que les Français puissent penser librement".
"C'est bien. Il était parfaitement normal qu'un certain nombre de candidats aient leurs signatures", a déclaré lors du 20h de France-2 le candidat UMP, qui avait dit il y a deux semaines qu'il "se battrait" pour que Jean-Marie Le Pen et Olivier Besancenot aient leurs 500 parrainages.
"L'élection présidentielle, c'est un moment où il faut que les Français puissent penser librement et je suis parfois stupéfait qu'on les empêche de penser librement", a poursuivi M. Sarkozy.
"On n'a pas le droit de parler de l'euro sous prétexte d'être un mauvais européen, de l'identité au prétexte qu'on serait nationaliste, de l'immigration au prétexte qu'on serait raciste", a-t-il estimé en faisant référence à plusieurs de ses thèmes favoris.
"C'est bien. Il était parfaitement normal qu'un certain nombre de candidats aient leurs signatures", a déclaré lors du 20h de France-2 le candidat UMP, qui avait dit il y a deux semaines qu'il "se battrait" pour que Jean-Marie Le Pen et Olivier Besancenot aient leurs 500 parrainages.
"L'élection présidentielle, c'est un moment où il faut que les Français puissent penser librement et je suis parfois stupéfait qu'on les empêche de penser librement", a poursuivi M. Sarkozy.
"On n'a pas le droit de parler de l'euro sous prétexte d'être un mauvais européen, de l'identité au prétexte qu'on serait nationaliste, de l'immigration au prétexte qu'on serait raciste", a-t-il estimé en faisant référence à plusieurs de ses thèmes favoris.