Sur le vif
C'est ce lundi que les douze jurés du procès de Zacarias Moussaoui entament leur deuxième semaine de délibérations pour déterminer si le Français est passible de la peine capitale. Les neuf hommes et trois femmes du jury doivent décider si Moussaoui est responsable d'au moins un décès le 11 septembre 2001, ce qui le rendrait passible de la peine de mort. Les jurés ont d'ores et déjà consacré près de 13 heures depuis que le cas leur a été confié mercredi après-midi.
Jusqu'à présent, le jury n'a posé qu'une seule question, cherchant à obtenir une définition des termes "armes de destruction massive". L'une des accusations qui pèsent sur Moussaoui et pour laquelle il pourrait être exécuté est le complot pour l'utilisation d'armes de destruction massive. Les jurés ont été informés qu'un avion utilisé comme un missile, la tactique employée pour les attentats du 11 septembre 2001, peut être qualifié d'arme de destruction massive. Si c'est le cas, la deuxième phase du procès s'ouvrira, afin de déterminer s'il mérite d'être exécuté. Une phase qui pourrait durer plusieurs semaines, et pourrait se concentrer sur les témoignages des victimes. Si le jury considère que non, l'accusé passera le restant de ses jours en prison.
Le Français a plaidé coupable en avril 2005 de six chefs d'accusation. Il a reconnu qu'il s'était rendu aux Etats-Unis pour participer à des attentats d'Al-Qaïda contre des bâtiments importants.
Jusqu'à présent, le jury n'a posé qu'une seule question, cherchant à obtenir une définition des termes "armes de destruction massive". L'une des accusations qui pèsent sur Moussaoui et pour laquelle il pourrait être exécuté est le complot pour l'utilisation d'armes de destruction massive. Les jurés ont été informés qu'un avion utilisé comme un missile, la tactique employée pour les attentats du 11 septembre 2001, peut être qualifié d'arme de destruction massive. Si c'est le cas, la deuxième phase du procès s'ouvrira, afin de déterminer s'il mérite d'être exécuté. Une phase qui pourrait durer plusieurs semaines, et pourrait se concentrer sur les témoignages des victimes. Si le jury considère que non, l'accusé passera le restant de ses jours en prison.
Le Français a plaidé coupable en avril 2005 de six chefs d'accusation. Il a reconnu qu'il s'était rendu aux Etats-Unis pour participer à des attentats d'Al-Qaïda contre des bâtiments importants.
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