Mercredi, Nicolas Sarkozy a déclaré qu'il ne fait pas partie de "ceux qui dramatisent les enjeux d'un débat à ce point-là".
"Je ne crois pas que les Français choisissent un président de la République sur la seule impression qu'ils auront sur un débat de deux heures", a estimé Nicolas Sarkozy sur France-Inter, à quelques heures de son unique face-à-face avec sa rivale socialiste Ségolène Royal.
"Les Français regardent ce débat avec beaucoup plus de sérénité que certains observateurs" et "réfléchissent beaucoup", a souligné le candidat de l'UMP, rappelant qu'"ils ont été 85% à voter" au premier tour. "Chaque moment est décisif mais je ne suis pas de ceux qui dramatisent les enjeux d'un débat à ce point-là".
Reprenant sa comparaison avec le Tour de France cycliste, Nicolas Sarkozy a expliqué qu'"il y a des étapes de montagne, nous serions soit dans les Pyrénées, soit dans les Alpes, l'Alpe-d'Huez, mais chacun sait que pour ramener le maillot jaune sur les Champs-Elysées, il y a des étapes de plaine". "Les étapes de plaine, cela peut réserver de grande surprise".
Et Nicolas Sarkozy de conclure: "il faut être au rendez-vous dans les montagnes mais il ne faut pas être déconcentré dans la plaine".
"Je ne crois pas que les Français choisissent un président de la République sur la seule impression qu'ils auront sur un débat de deux heures", a estimé Nicolas Sarkozy sur France-Inter, à quelques heures de son unique face-à-face avec sa rivale socialiste Ségolène Royal.
"Les Français regardent ce débat avec beaucoup plus de sérénité que certains observateurs" et "réfléchissent beaucoup", a souligné le candidat de l'UMP, rappelant qu'"ils ont été 85% à voter" au premier tour. "Chaque moment est décisif mais je ne suis pas de ceux qui dramatisent les enjeux d'un débat à ce point-là".
Reprenant sa comparaison avec le Tour de France cycliste, Nicolas Sarkozy a expliqué qu'"il y a des étapes de montagne, nous serions soit dans les Pyrénées, soit dans les Alpes, l'Alpe-d'Huez, mais chacun sait que pour ramener le maillot jaune sur les Champs-Elysées, il y a des étapes de plaine". "Les étapes de plaine, cela peut réserver de grande surprise".
Et Nicolas Sarkozy de conclure: "il faut être au rendez-vous dans les montagnes mais il ne faut pas être déconcentré dans la plaine".