Le Bitcoin a franchi, mercredi 29 novembre, le seuil des 10 000 dollars (8 400 €), une valeur jamais atteinte jusqu’ici depuis la création de cette monnaie virtuelle en 2009. A son lancement, le Bitcoin ne valait pourtant que quelques centimes. Elle n’a cessé de monter pour devenir aujourd’hui une monnaie sur laquelle de très nombreux investisseurs ont misé dessus.
La valeur de cette cryptomonnaie, stockée sur un support électronique, a ainsi été multipliée par dix depuis le début de l’année 2017, faisant craindre une bulle spéculative qui, en explosant, finisse par ruiner des investisseurs parmi les moins avertis.
Cette monnaie digitale n’est cependant pas compatible avec l’islam, la spéculation faisant notamment partie des interdits en matière d’économie et de finance islamiques, a fait savoir mercredi le Diyanet, le ministère turc des Affaires religieuses à l'issue d'une réunion consacrée à cette question vendredi 24 novembre.
« Acheter et vendre des monnaies virtuelles n’est pas compatible avec la religion en raison du fait que leur évaluation est ouverte à la spéculation. Elles peuvent aussi être facilement utilisées dans le cadre d’activités illégales comme le blanchiment d’argent et elles ne sont pas sous le contrôle et la surveillance de l’Etat », a expliqué la plus haute autorité religieuse du pays.
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« L’économie islamique est d’essence spirituelle et de profondeur sociale »
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Cette monnaie digitale n’est cependant pas compatible avec l’islam, la spéculation faisant notamment partie des interdits en matière d’économie et de finance islamiques, a fait savoir mercredi le Diyanet, le ministère turc des Affaires religieuses à l'issue d'une réunion consacrée à cette question vendredi 24 novembre.
« Acheter et vendre des monnaies virtuelles n’est pas compatible avec la religion en raison du fait que leur évaluation est ouverte à la spéculation. Elles peuvent aussi être facilement utilisées dans le cadre d’activités illégales comme le blanchiment d’argent et elles ne sont pas sous le contrôle et la surveillance de l’Etat », a expliqué la plus haute autorité religieuse du pays.
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