Sur le vif
Un roman de Mazarine Pingeot traitant de l'infanticide, "Le cimetière des poupées", à paraître en août, a déclenché une polémique à Chinon, ville d'origine de la famille Courjault au coeur de l'affaire des bébés congelés retrouvés l'an dernier en Corée du Sud.
Selon les éditions Julliard, le roman, qui paraîtra le 22 août, n'est pas un récit du drame qu'a vécu la famille Courjault.
"Au nom du principe inviolable de la liberté d'expression, Mazarine Pingeot, comme tous les écrivains, a le droit de s'emparer d'un événement qui l'a particulièrement touchée et d'imaginer à travers une histoire totalement inventée, et en créant des personnages de pure fiction, de sonder les ressorts et les mystères de l'âme humaine", a précisé l'éditeur dimanche soir dans un communiqué.
Un comité de soutien de la famille Courjault s'indigne de la parution de ce livre tant que l'affaire n'aura pas été jugée. Une pétition en ce sens avait déjà recueilli dimanche près de 200 signatures à Chinon (Indre-et-Loire).
Selon les éditions Julliard, le roman, qui paraîtra le 22 août, n'est pas un récit du drame qu'a vécu la famille Courjault.
"Au nom du principe inviolable de la liberté d'expression, Mazarine Pingeot, comme tous les écrivains, a le droit de s'emparer d'un événement qui l'a particulièrement touchée et d'imaginer à travers une histoire totalement inventée, et en créant des personnages de pure fiction, de sonder les ressorts et les mystères de l'âme humaine", a précisé l'éditeur dimanche soir dans un communiqué.
Un comité de soutien de la famille Courjault s'indigne de la parution de ce livre tant que l'affaire n'aura pas été jugée. Une pétition en ce sens avait déjà recueilli dimanche près de 200 signatures à Chinon (Indre-et-Loire).
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