Le président de la République Nicolas Sarkozy
'Fraternité franco-britannique'
Mercredi 26 mars 2008, lors d'un discours prononcé devant le Parlement britannique, le président de la République Nicolas Sarkozy, en voyage officiel pour deux jours outre-Manche, a proposé à la Grande-Bretagne une "nouvelle fraternité franco-britannique".
"Au nom du peuple français, je suis venu proposer au peuple britannique qu'ensemble nous écrivions une nouvelle page de notre histoire commune, celle d'une nouvelle fraternité franco-britannique" a déclaré Nicolas Sarkozy devant les parlementaires britanniques.
"Ce que souhaite la France est simple : toujours plus d'entente, toujours plus de coopération, toujours plus de solidarité, tout le justifie : notre statut commun de membre permanent du Conseil de sécurité, nos responsabilités de puissance nucléaire, l'influence que nous exerçons chacun dans une partie du monde, notre appartenance commune à l'Union européenne, notre attachement viscéral à la démocratie et à la liberté", a ajouté le chef de l'Etat.
"Au nom du peuple français, je suis venu proposer au peuple britannique qu'ensemble nous écrivions une nouvelle page de notre histoire commune, celle d'une nouvelle fraternité franco-britannique" a déclaré Nicolas Sarkozy devant les parlementaires britanniques.
"Ce que souhaite la France est simple : toujours plus d'entente, toujours plus de coopération, toujours plus de solidarité, tout le justifie : notre statut commun de membre permanent du Conseil de sécurité, nos responsabilités de puissance nucléaire, l'influence que nous exerçons chacun dans une partie du monde, notre appartenance commune à l'Union européenne, notre attachement viscéral à la démocratie et à la liberté", a ajouté le chef de l'Etat.
Stratégie
"La France a proposé à ses alliés de l'Alliance atlantique une stratégie pour permettre au peuple afghan et à son gouvernement légitime de construire la paix", a par ailleurs souligné M. Sarkozy, avant de confirmer une information divulguée par le Times samedi 22 mars selon laquelle un renfort de troupes françaises en Afghanistan serait à l'ordre du jour.
"Si ces propositions sont acceptées, la France proposera lors du sommet [de l'OTAN] à Bucarest de renforcer sa présence militaire", a souligné Nicolas Sarkozy, selon lequel "nous ne pouvons pas accepter un retour des talibans et d'Al-Qaida à Kaboul. La défaite nous est interdite, même si la victoire est difficile".
"Si ces propositions sont acceptées, la France proposera lors du sommet [de l'OTAN] à Bucarest de renforcer sa présence militaire", a souligné Nicolas Sarkozy, selon lequel "nous ne pouvons pas accepter un retour des talibans et d'Al-Qaida à Kaboul. La défaite nous est interdite, même si la victoire est difficile".