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Bayrou s'invite dans le 9.3
que d'hypocrisie!! les responsables associatifs sont décidément passés maitres dans l'art de passer de la pommade aux élus, comment accueilir tous ces poltiques sans même parler des sujets qui fachent? Est-ce que la crainte des politiques est devenue plus grande que celle d'Allah? Je crois que la réponse est évidente!
Comme d'habitude c'est toujours la même chose, je pense qu'il faut arrêter de faire du copier coller du crif, premièrement parceque les musulmans de france n'ont pas la même place que les juifs de france, deuxiement les associations soit disant representatives des musulmans ne sont pas là pour jouer aux hypocrites avec les politiciens (les grands defensseurs de la liberté d'expression selective), le politicien doit être remi a sa place lorsqu'il depasse les limites des lois de la republique.
Je ne comprends pas cet article. Le dîner de cette association n'est pas une tribune politique. Je ne vois pas pourquoi saphirnet voudrait que cela soit une tribune politique où les uns et les autres viennent s'empoigner. C'est une vision trop belliqueuse d'un dîner d'association. Quand on veut de la contreverse on organise un débat. Or il ne s'agit pas d'un dîner débat. Bref, je n'y comprends rien.
Cher Bayrou,
Merci pour ta visite en banlieue Parisienne, ici immigration reussite economique et tranquilité des population est la régle.
Toi, grand politique devant l'eternel tu devrait mêttre tes enfants dans un des nombreux etablissement scolaire de cette magnifique region.
Tu verra, ils feront du sport, de nombreuse options tel le Karaté, la boxe ou encore le catch se pratique régulierement.
Mais l'histoire aussi, de nouvelles metodes pédagogique ont fait leur aparition, et vos enfants ne perdront plus de temps avec l'aulocoste, la colonisation et la guerre d'algerie.
En biologie aussi, le Darwinisme n'est plus evoqué et l'evocation de la creation de la vie a trouver une reponse rapide avec le coran. De plus des activité d'echange ou plus communement appellé racket sont au programme.
Tu pourra aussi aprecier les nouvelles tendances de la mode coranique ou la beauté des tchadors et divers burkas embellise des cités ou la beauté architecturale n'a dequivalence que celle des nombreuses créations d'arts moderne fabiqué a l'aide d'automobile brulés.
OUI vient de le 9.3, sans avions tu sera a Alger puis a Tombouctou...de nombreuse nouvelles medecine ont aussi fait leur apparition, tu sera confondu devant la dexterité des mains abiles qui pratique l'exition ou l'egorgement de moutons.
Il n'y a aucune chance ensuite que tu ai de la nostalgie pour ton Bearne natal, tu vas découvrir ce qu'espoir bea
VOTEZ Mahmoud Ahmadinejad...voila un démocrate qu'il est beau.
Et vive le couscous au boudin...
bismi llah y rahmane y rahime
cher frere Fouad
c'est avec beaucoup d'interet que j'ai pris connaissance de ton article sur la soirée organisée par l'uam 93. je te remercie pour l'engoument que tu porte aux actions de l'UAM 93.
mais allons droit au but. j'étais présent à cette soirée et il me semble que ton article fait dire aux responsables de cette soirée des propos qu'ils n'ont pas tenus. Notament lorsque tu avance que "...UAM a lancé un tacle en direction de l'Union des organisations islamiques en France (UOIF)..." je te renvoie ainsi que les internauts vers M'hemmed Heniche "henniche@yahoo.fr" pour qu'il mette à ta disposition le discour prononcé.
Je pense que sur ce point, tu lié le discour avec l'histoire vécue entre l'UOIF et l'UAM. il serait bon pour ta crédibilité de faire la part des choses.
De plus, je te rappel que la soirée à atteinds les objectifs définitions par les organisateurs. mais je convains également que tous les sujets consernant la communauté musulmane non pas été soulevés. Mais, peut-on, en une soirée discuter de tous les problèmes? pour ma part, je ne le pense pas. Je pense même qu'il serait idiot d'agir de la sorte.
il faut savoir, malgré, que l'UAM a tissée des liens très étroits avec les différents parties politiques qu'elles reste une jeune association.
Lorsque l'on connait les moyens dont ils disposent, on se rend compte qu'ils fonds un travail remarquable. mais je sais aussi, de par mon expérience personnel, que les plus critique a l'égard des musulmans se sont les musulmans eux-même. alors je ne suis pas étonné de ton article.
afin, plusque c'est le but final, je demande a Allah qu'il pluisse nous guider et nous pardonner car nous ne sommes que des pécheurs (da'if).
Valeurs Actuelles n° 3667 paru le 9 Mars 2007
Notre opinion
par François d'Orcival
Le serment à la France
Les juifs de France ne demandent pas la réécriture de l’histoire nationale. Au contraire, ils la revendiquent. Ils commémorent ce dimanche le bicentenaire de leurs institutions communautaires nées des décrets signés par Napoléon. Ils le font sous un intitulé sans équivoque : « deux cents ans d’intégration réussie ». Un modèle. Dans un pays où, précisément, l’intégration reste pour un certain nombre de communautés présentes sur notre territoire une question non résolue.
L’histoire de l’intégration de la communauté juive en France ne date ni de la Révolution ni de l’Empire ; elle est aussi ancienne que ce pays, mais c’est Napoléon qui, par son intelligence politique aiguë, a su conduire cette communauté à la fusion au sein de la nation, dans le respect de sa religion et de ses traditions, tout en la protégeant par des institutions.
Nous racontons dans notre rubrique “Histoire” ce que fut ce processus et comment il a abouti. En réunissant d’abord l’assemblée des notables juifs puis le grand Sanhédrin des rabbins et des autorités religieuses, Napoléon n’entendait pas traiter d’affaires de religion mais de loi civile. Avant de faire quoi que ce soit, et parce que ses ministres et conseillers sont divisés sur le sujet, il veut obtenir des représentants de la communauté qu’ils se prononcent sur le droit, la loi, la France et les Français. Et parce que c’est conforme aux préceptes religieux du judaïsme, rabbins et notables n’ont aucune difficulté à prêter ce serment de fidélité à la France, comme le rappelle avec élégance le Dr Joël Mergui, président du Consistoire de Paris : fidélité à la loi commune, à la patrie française et à ses membres (oui, les Français d’autres confessions sont des frères ; oui, la patrie doit être défendue jusqu’au sacrifice…).
Ce seul serment de fidélité suffisait à effacer préventions ou objections : les juifs de France étaient libres de leurs pratiques religieuses puisqu’ils étaient libres comme des citoyens français. Sans doute y a-t-il eu depuis bien des drames : les dix années de l’affaire Dreyfus, les quatre années d’Occupation, le statut des juifs de Vichy, les crimes de déportation. Mais dans un cas comme dans l’autre, s’ils ont été persécutés par des Français, ils ont aussi trouvé secours et assistance auprès d’autres Français, de toutes convictions et de toutes confessions. Zola et Jaurès, revendiqués par la gauche socialiste, Péguy et le Barrès de la Grande Guerre, revendiqués par la droite patriote, défendront leurs compatriotes juifs d’une même voix.
La France est le pays qui compte le plus grand nombre de “Justes”, ces hommes et ces femmes qui « accueillent, cachent, sauvent les persécutés » de la Seconde Guerre mondiale. Le 18 janvier dernier, le président de la République leur rendait un hommage national au Panthéon : « Dans ce cauchemar éveillé que les juifs vivent depuis 1940, la France, leur France, à laquelle ils ont cru si intensément, n’a pas tout à fait disparu. Dans les profondeurs du pays, une lueur d’espoir se fait jour. Elle est fragile, vacillante. Mais elle existe. »
Le serment de 1807 veillait sur l’espérance des uns, sur la charité des autres. Frères et français.
Mais s’il y a ici modèle d’intégration, c’est bien qu’il peut manquer ailleurs. « Avez-vous vu des jeunes juifs casser des voitures ? », s’interroge Joël Mergui. Peut-on parler de l’intégration des musulmans comme on vient d’évoquer celle des juifs ?
Aux douze questions posées au grand Sanhédrin de 1807, qu’auraient pu répondre les délégués d’un conseil du culte musulman ? Auraient-ils pu renoncer publiquement à la polygamie alors qu’elle est admise par le Coran ? Auraient-ils pu accepter la loi commune quand l’islam ne reconnaît que la loi de Dieu et ne distingue pas entre Dieu et César ? Si on leur avait effectivement posé la question, on aurait vu plus clair dans la bataille déclenchée par certaines mosquées ou certains pays au sujet de notre loi sur le voile. Mais on ne l’a pas fait. Pas plus qu’on ne leur a demandé s’ils considéraient les Français d’autres confessions comme des frères ou comme des étrangers à convertir, puisque l’islam est une religion conquérante et universelle. On ne saura pas non plus si les musulmans devaient être prêts au sacrifice pour la France, quelles que soient les circonstances. On leur a octroyé des institutions politiques, mais sans engagement préalable.
Bien des soldats musulmans se sont fait tuer sur les champs de bataille du monde entier pour la France, sans demander non plus à réécrire l’histoire. Mais justement, si les imams de France avaient collectivement adopté une fatwa (un décret religieux) pour placer leur patrie d’accueil au-dessus de toute autre allégeance, on ne jouerait peut-être pas dans nos quartiers de banlieues à la “guerre des civilisations ”.
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