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Des bagagistes musulmans renvoyés pour la « sûreté de l’Etat. »

 elham
Vendredi 20 Octobre 2006

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on fiche, puis on sanctionne les gens selon le MO des annés 40.

9 musulmans/10 font le ramadan (sondage csa), le prefet n'a qu'à virer la quasi totalité des employés de roissy.

Ok pour l'action judiciaire, mais l'affaire est tellemnt grave qu'il faut aller encore plus en avant et porter l'affaire sur le terrain politique jusqu'à obtenir la tête du prefet.
 ML
Vendredi 20 Octobre 2006

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Aujourd'hui on licencie des musulmans pour le simple fait d'être musulman.

Quand ces musulmans demandent ce qu'on leur reproche, les services de l'Etat ne leur réponde rien mais seulement : 'à vous de prouver votre innocence' !!

Mais où vit-on ? Quelle détestable injustice, quelle détestable mépris, quelle detestable islamophobie..
 Quand on ne sait pas.......
Vendredi 20 Octobre 2006

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Arretons de ce sentir toujours victime.....des bagagistes en arret maladie pendant le ramadan, pendant juillet Aout pour se rendre en Arabie Saoudite....est-ce une attitude Islamique...
 sasa
Vendredi 20 Octobre 2006

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pourqoui ne pas saisir la HALDE ?
 perplexe
Samedi 21 Octobre 2006

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La ALDE n' a rienb à voir avec ce problème !

La sécurité de l'État prime tout.

Ce n'est pas parce qu'ils sont musulmans que ces badges ont été retirés à leurs porteurs mais
parce que la DST avait des doutes.

Il faut faire confiance à la justice


On annonçait, en fin de semaine, que 43 bagagistes de Roissy et d’Orly s’étaient vu retirer leur badge d’accès aux pistes, pour raisons de sécurité. Ces 43 bagagistes étant musulmans, les milieux islamistes se sont emparés de l’affaire en criant à l’islamophobie. Certains en ont même profité pour remettre sur le tapis la fermeture de salles de prières illégales dans les aéroports.

Samedi matin, Monsieur Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur, a justifié la décision de retrait des badges en expliquant : « Il y a 43 personnes à qui nous avons retiré l'habilitation. Il n'y avait là aucun délit de sale gueule. Il y avait des éléments précis qui nous amenaient à leur interdire l'entrée sur la surface d'un aéroport ».

Les badges en question permettent l’accès aux zones sous sûreté, aux pistes et aux avions et leur attribution ou leur maintien fait donc, tout naturellement, l’objet d’enquêtes de sécurité. Il nous revient qu’au cours des enquêtes effectuées ces derniers mois, il est apparu que certains bagagistes, de religion musulmane, fréquentaient des mosquées ou salles de prières radicales, ou étaient connus pour leurs positions et sympathies fondamentalistes voire pour des comportements jugés « suspects » par les services de police et de renseignement. Le sous-préfet en charge de Roissy, Monsieur Jacques Lebrot a été plus précis sur certains griefs retenus à l’égard des personnes concernées : « Le risque terroriste est très important en France [...] Pour nous, quelqu'un qui va passer des vacances plusieurs fois au Pakistan, cela nous pose des questions ». Selon M. Lebrot, plusieurs des bagagistes auraient « séjourné dans des camps d'entraînement ».

Tout naturellement, les services concernés ont été amenés à proposer le retrait des badges de sécurité à ces personnels. On remarquera que les enquêtes en cours depuis des années – et en tous cas, depuis 2001 - font toutes apparaître un lien clair, net et souvent précis, entre fondamentalisme religieux, radicalisme islamiste et terrorisme. Cela ne signifie évidemment pas que tous les fondamentalistes vont évoluer vers le radicalisme politique ou encore moins vers le terrorisme. En revanche, la totalité des terroristes sont passés, dans le processus de radicalisation qui a été le leur, par les étapes du fondamentalisme et du radicalisme.

On est dès lors amené à estimer, dans une analyse objective de la menace et du risque qu’est bien fondée une décision visant à écarter de certaines tâches et fonctions les fondamentalistes et, a fortiori, les radicaux islamistes. Le ministre de l’Intérieur a, du reste, souligné que son devoir était « de veiller à ce que les personnes qui ont accès aux pistes de décollage et d'atterrissage n'aient, ni de près ni de loin, de liens avec des organisations radicales ».

Six des bagagistes concernés ayant saisi la justice, les tribunaux auront donc, dans un futur proche, à se prononcer sur la justesse de la décision qui a été prise. Ce qui amène Nicolas Sarkozy à estimer : « Je préfère qu'on ait le risque d'un contentieux devant un tribunal parce qu'on a été trop sévère pour une habilitation plutôt qu'on se retrouve avec un drame parce qu'on n'a pas été assez sévère. Tous les pays au monde font cela. »

Mais cette polémique fait ressortir une autre affaire : sept lieux de culte radicaux ont été fermés à Roissy et Orly ces derniers mois. L’AFP citait, ce matin, un agent d'exploitation français d'origine tunisienne, M. Mohammed Seddiki, qui déclare : « Depuis six ans que je travaille à Roissy, il n'y a jamais eu de problème. En juin, on nous a fermé notre salle de prière et maintenant on me dit que je suis un danger pour l'aéroport. »

On se permettra simplement de souligner que les aéroports sont gérés par la Société anonyme « Aéroports de Paris » dont 30% du capital a été introduit en bourse au printemps, mais dont 70% dudit capital demeurent entre les mains de l’Etat. Il s’agit donc d’établissements publics. La France étant un Etat laïc, il n’existe aucune raison valable de tolérer l’existence, dans un établissement de ce type, de lieux de cultes réservés au personnel. L’existence même de tels lieux serait d’ailleurs purement et simplement illégale.

Le MRAP (Mouvement contre le Racisme et pour l’amitié entre les peuples) et plusieurs syndicats s’étant émus de la décision de retrait des badges, l’affaire n’en restera certainement pas là et il est plus que probable que l’on assistera, dans les jours et semaines à venir, à une offensive de propagande islamiste visant à stigmatiser « l’islamophobie » des autorités françaises.
 mehdi
Dimanche 22 Octobre 2006

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Quand perplexe dit:
>>>
Il faut faire confiance à la justice.
>>>

je dit NON, c'est de la pure démission citoyenne. Il faut forcer la DST à fournir les preuves de ce qu'ils avancent. Si c'est vrai que les individus ont fréquenté des medersas au Pakistan, afghanistan, OK il n'ya rien à dire...

Par contre, se réfugier derrière le secret d'état et dire " je fais confiance à la justice et la sécurité d'état prime tout", c'est la porte ouverte vers l'arbitraire: Proces d'Outreau, affaire Dreyfus, Proces MacCarty et j'en passe...

Quand il ya uniquement des comportements suspects genre: opinion avérée islamiste, amities pour la cause du Hamas, tenue vestimentaire "à l'afghane" etc.., j'admet qu'il est tres difficile de fournir des preuves mais qu'il faut se méfier de ces gens, mais il faut se méfier aussi des apparences: Les terroristes du 11 Sept avaient tous l'air de 1ers de la classe, bien rasés, propres sur soi, éduqués etc.. on ne sait jamais.. c'est ca le pire.
 Hmida
Dimanche 22 Octobre 2006

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Cette affaire me donne un arrière goût d'égoût dans la bouche!!
Je pose les questions suivantes: " si ces personnes sont si potentiellement dangereuses que cela pourquoi ne pas pousser jusqu'à leur poursuite en justice? pourquoi ne pas continuer la procédure jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus POTENTIELLEMENT nuire à la sécurité des citoyens?"

Je pense très sincèrement qu'il va falloir faire profil bas pour les musulmanos-arabo-berbero-africano..j'en passe et des meilleurs, dans les années, que dis je, dans les minutes qui suivent...

A quand la shoa version muslim??

 rescapé
Dimanche 22 Octobre 2006

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hmida

là vous êtes outrancier.

vous ne savez pas ce qu'est la Shoa, autrement vous n'auriez pas écrit une pareille énormité



ci-dessous un article qui vous rassurer

Selon le sous-préfet chargé des aéroports de Roissy et du Bourget, les 43 bagasistes concernés sont des cas «liés au terrorisme».

Retour | Rubrique France

Samedi, le ministre de l'Intérieur a invoqué des impératifs de sécurité pour justifier la décision de retirer leur badge à plusieurs dizaines de bagagistes musulmans de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle.

«Je ne peux pas accepter que des gens qui ont une pratique radicale travaillent sur une plate-forme aéroportuaire.» Samedi matin, Nicolas Sarkozy a justifié le retrait des badges de plusieurs dizaines de bagagistes musulmans de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle.

«Il y a 43 personnes à qui nous avons retiré l'habilitation. Il n'y avait là aucun 'délit de sale gueule'. Il y avait des éléments précis qui nous appelaient à leur interdire l'entrée», a affirmé le ministre de l’Intérieur lors d’une intervention à la Sorbonne dans le cadre de la 15e édition des débats de la Cité de la Réussite. Il n'a cependant livré aucune précision concernant ces «éléments précis».

«Peut-être qu'on s'est trompé», mais dans ce cas, «qu'ils fassent valoir leurs droits devant les tribunaux», a-t-il ajouté. «Je préfère qu'on ait le risque d'un contentieux devant un tribunal parce qu'on aura été trop sévère pour une habilitation plutôt qu'on se retrouve avec un drame par ce qu'on n'aura pas été assez sévère.»

Recours devant le tribunal administratif

Quatre des bagagistes ayant perdu leur habilitation contestent la décision devant le tribunal administratif, faisant valoir qu'ils sont soupçonnés de liens avec le terrorisme en raison de leur confession musulmane. Il s'agit donc de discrimination, selon leurs avocats. Ceux-ci soulignent que certains travaillaient à Roissy depuis cinq ans et que, faute d'accréditation pour toutes les zones, ils risquent de perdre leur emploi.

Le sous-préfet chargé des aéroports de Roissy et du Bourget, Jacques Lebrot, a déclaré que des bagagistes et autres employés avaient été interdits d'entrée dans les zones de sécurité depuis février. Ces cas sont «liés au terrorisme, bien sûr», soit par appartenance à un réseau, soit par un caractère «impressionnable», a-t-il ajouté, précisant que les retraits de badges avaient été décidés sur recommandation de l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste (UCLAT), dans le cadre d'une enquête de 18 mois.
Les personnes concernées ont reçu une lettre déclarant qu'elles représentaient «un danger significatif pour la sécurité aéroportuaire» ou avaient eu un «comportement personnel menaçant la sécurité» de l'aéroport. Jacques Lebrot assure que les employés visés «savent» pourquoi ils ont perdu leur habilitation et qu'aucune raison religieuse n'entre en ligne de compte.
18 imams expulsés
Fin 2002, un bagagiste de Roissy, Abderazak Besseghir, avait été arrêté et détenu pendant près de dix jours après la découverte d'armes et explosifs dans le coffre de sa voiture stationnée à l'aéroport. L'enquête avait abouti à la condamnation en juin 2004 de plusieurs personnes, dont les beaux-parents du jeune homme, pour avoir fabriqué l'affaire de toutes pièces. Les beaux-parents tenaient le bagagiste pour responsable de la mort de leur fille en 2002.
Nicolas Sarkozy a par ailleurs affirmé samedi qu'il avait fait fermer «sept lieux de culte islamistes clandestins et illégaux» sur les aéroports de Roissy et Orly et que 18 imams «qui tenaient des propos parfaitement incompatibles avec les valeurs de la République» avaient été expulsés depuis le début de l'année du territoire français.

 rescapé
Lundi 23 Octobre 2006

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Merci à saphirnews de m'avoir compris
 Yenamarre
Jeudi 2 Novembre 2006

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Depuis que sarkozy est au pouvoir, la dictature bas son plein. Ce pyromane doit être sanctionné à juste titre, exprimons nos voix en 2007.
 mesurejustifiée
Samedi 4 Novembre 2006

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Il est effectivement tres difficile de distinguer parmis les français musulmans ceux qui défendent ou combattent notre République.
Dans ce débat l'injustice qui peut être commise envers des personnes innocentes , au nom de la sureté de l'Etat , est malheureusement légitimée par la gravité des enjeux : il s'agit ici d'éviter que des avions ne se transforment en bombes volantes ou en missiles auto-guidés. Comment combattre la guerre sainte sans offenser les musulmans ? D'ailleurs ne serai-ce pas aux musulmans de combattrent leurs fondamentaux ? On peut se demander pourquoi le silence de la communauté ?
Par contre on entend fort et clair les indigènes de la République....
 cémoi
Mercredi 14 Novembre 2007

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c koi le terrorisme, quel amalgame voulu fait on pour ne ps déclarer son incompétence a combattre l ennemi. cette ennemi emmergent crée par l'arrogance et l ignorance de certains pouvoirs politiques; pourkoi ne ps declarer haut et fort sa disposition a traiter avec son ennemi, le considerer comme un ,partenaire et redistribuer les cartes de ce monde. c la seule solution viable