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Isla Délice : une double certification ARGML/AVS dans les rayons

 Juvénal
Vendredi 4 Janvier 2013

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HALLAL UN RACISME DISSIMULÉ

L’astuce de présenter les interdits alimentaires comme une émanation d’une volonté supérieure est observée aussi bien dans l’Ancien Testament que dans le Coran. Affirmer plus franchement que ces prescriptions ont pour seule finalité l’enfermement du croyant dans une norme culpabilisante où, à chaque instant, celui-ci craint l’égarement, aurait vu la diffusion des sectes monothéistes beaucoup moins couronnée de succès. Le judaïsme a réalisé un travail pesant dans la distinction entre le licite et l’illicite dans le Pentateuque et l’islam se contentera d’en reprendre une bonne partie. Mille quatre cents ans après l’invention de l’islam par un chamelier analphabète reconverti en chef de bande, les phobies alimentaires demeurent toujours extrêmement prégnantes dans le monde musulman. L’obsession du halal devient même une mode aux allures revendicatrices chez de nombreux jeunes musulmans : exécrer le porc devient un symbole de vertu alors que n’importe quel bon vivant non frustré par une religion castratrice s’égaillera à l’idée que “dans le cochon tout est bon“. Quel consommateur non halal ne s’est jamais senti insulté ou méprisé quand un obsédé du halal affiche son dégoût du porc ? Lorsqu’un fanatique des interdits coraniques demande, inquisiteur, la composition précise du met qui lui est aimablement proposée, comment ne pas être vexé par cette suspicion qui se porte aussi sur celui qui offre ? Spécificité culturelle ou progression rampante d’une idéologie de rejet ? Ce que les pleutres acceptent comme une prétendue spécificité culturelle (la véritable culture n’enferme pas l’individu) est en fait la progression rampante d’une idéologie de rejet de la différence. Récemment, une campagne d’affichage d’Isla Délice pour la promotion des produits halal montre divers animaux clamant qu’ils sont “fièrement halal“. Quand on sait que ces bestioles finiront égorgées par un mystique persuadé qu’Allah tient son couteau, on mesure mieux le caractère provocateur de cette campagne dont le slogan décrypté serait plutôt : “le halal est l’étendard de l’islam“. Ce qui, incidemment, montre aussi que les amateurs de halal sont encore loin d’avoir pris conscience de la nature barbare et archaïque du rituel imposé. Le concept de nourriture halal ne se limite pas à la distinction, qu’on pourrait juger anecdotique ou simplement gastronomique, entre les aliments autorisés et ceux interdits. Opposer le halal au haram relève de la même phobie de l’altérité qui a poussé l’islam à scinder le monde en deux parts, le monde de l’islam et le monde de la guerre. C’est l’un ou l’autre, sans zone alternative où les non musulmans pourraient vivre en paix. L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant. La dichotomie du “comme moi ou différent de moi” est en fait celle du “avec moi ou contre moi” qui constitue un très efficace facteur de haine et de guerre. L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant. Dans le verbiage islamique qui se repaît de nourriture “autorisée“, le non musulman est à l’image des mets qu’il consomme : un impur. On sait, depuis la Bible, que l’impureté se transmet par contact : le texte assène que, lors des règles, l’impureté de la femme dure une semaine et se transmet à quiconque la touche ainsi qu’au lit ou au siège qu’elle utilise et à tous ceux qui touchent ce lit ou ce siège (Lévitique, 15.19-30). Comme l’islam se réclame du mythe abrahamique, la sentence vaut donc aussi pour lui : on comprend bien que quiconque aura ingéré un aliment déclaré impur sera, physiquement, lui aussi affecté par la souillure. Une saucisse de Toulouse accompagnée par un Cahors, quelques huîtres non égorgées en direction de La Mecque aux côtés d’un Jurançon ou le foie gras d’un canard tué sans l’invocation d’Allah et c’est l’assurance d’être relégué dans l’infamant statut des koufar face aux pieux croyants, immaculés et purs par la seule vertu de leur nourriture. Personne d’autre que ces derniers ne montre autant d’empressement à examiner la liste complète des ingrédients d’un yaourt aux fraises pour s’assurer que n’y figure aucun émulsifiant d’origine animale, aucun colorant à base de cochenille, aucune gelée de porc, aucun alcool. L’infidèle qui n’a que faire des phobies alimentaires musulmanes n’est qu’un sous-individu que le Coran sait accabler dans d’innombrables versets de haine et de mépris. Et scinder l’humanité entre des individus purs et supérieurs et d’autres impurs et inférieurs a un nom : le racisme.


 Juvénal
Vendredi 4 Janvier 2013

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L’étourdissement compatible avec le culte musulman, alors passons aux actes !
Le Recteur de la Grande Mosquée de Paris, le Dr Dalil Boubakeur, alors président du Conseil Français du Culte Musulman avait déclaré, en février 2006 dans un entretien à Filières Avicoles : « J’ai personnellement assuré à Brigitte Bardot, lorsque je l’ai rencontrée, que l’Islam n’est pas hostile à l’étourdissement mais à condition qu’il ne soit pas irréversible ». La réversibilité de l’étourdissement des animaux d’abattoir a été établie, en décembre 2006, par l’Académie vétérinaire de France qui a remis un rapport, aux ministères de l’Agriculture et de l’Intérieur, dans lequel on peut lire : « L’étourdissement électrique des animaux de boucherie, et notamment des ovins, est réversible s’il est correctement appliqué ; l’animal soumis à cette forme d’étourdissement reste vivant, mais dans un état d’inconscience et d’insensibilité à la douleur ».
 Juvénal
Vendredi 4 Janvier 2013

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sauf que tareq oubrou et la Gde mosquée de Lyon sont pour létourdissement préalable et je milite pour la cause animale auprès de mes amis juifs également !
Salute et pace !
 fourmillion
Vendredi 4 Janvier 2013

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Salam alekoum

bizard, dans le communiqué d'AVS dit qu'il ne fait pas d'électronarcose au préalable, mais aucun mot sur l'électronarcose post-saignée qu'il nous ont fait manger avec Isla Délice pendant 14 ans, comme dit dans les déclarations du patron d'Isla Délice ou comme analysé par l'association de consommateurs musulmans ASIDCOM voir le lien suivant : http://www.asidcom.org/Les-dessous-de-l-affaire-ISLA.html

...
 lr407
Samedi 5 Janvier 2013

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La confiance qu’un musulman porte à son label Halal est fondamentale et la Mosquée de Lyon ou AVS doit tout faire pour mériter cette confiance et continuer d’en bénéficier. A la lumière des enseignements prophétiques, il est utile de rappelé que diriger est une mission et il faut toujours s’accompagner de plusieurs vertus dont la faculté de séparer les derniers publics de la richesse personnelle.

Dieu fera porter aux dirigeants voleurs leurs butins devant tous les fidèles en guise de châtiments.

Il faut comprendre que tout gestionnaire rendra compte.
 Juvénal
Samedi 5 Janvier 2013

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NOURRITURE HALLAL
Le judaïsme a réalisé un travail pesant dans la distinction entre le licite et l’illicite dans le Pentateuque et l’islam se contentera d’en reprendre une bonne partie.

Mille quatre cents ans après l’invention de l’islam par un chamelier analphabète reconverti en chef de bande, les phobies alimentaires demeurent toujours extrêmement prégnantes dans le monde musulman.

L’obsession du halal devient même une mode aux allures revendicatrices chez de nombreux jeunes musulmans : exécrer le porc devient un symbole de vertu alors que n’importe quel bon vivant non frustré par une religion castratrice s’égaillera à l’idée que “dans le cochon tout est bon“.

Quel consommateur non halal ne s’est jamais senti insulté ou méprisé quand un obsédé du halal affiche son dégoût du porc ? Lorsqu’un fanatique des interdits coraniques demande, inquisiteur, la composition précise du met qui lui est aimablement proposée, comment ne pas être vexé par cette suspicion qui se porte aussi sur celui qui offre ?

Spécificité culturelle ou progression rampante d’une idéologie de rejet ?

Ce que les pleutres acceptent comme une prétendue spécificité culturelle (la véritable culture n’enferme pas l’individu) est en fait la progression rampante d’une idéologie de rejet de la différence.

Récemment, une campagne d’affichage d’Isla Délice pour la promotion des produits halal montre divers animaux clamant qu’ils sont “fièrement halal“. Quand on sait que ces bestioles finiront égorgées par un mystique persuadé qu’Allah tient son couteau, on mesure mieux le caractère provocateur de cette campagne dont le slogan décrypté serait plutôt : “le halal est l’étendard de l’islam“.

Ce qui, incidemment, montre aussi que les amateurs de halal sont encore loin d’avoir pris conscience de la nature barbare et archaïque du rituel imposé.

Le concept de nourriture halal ne se limite pas à la distinction, qu’on pourrait juger anecdotique ou simplement gastronomique, entre les aliments autorisés et ceux interdits. Opposer le halal au haram relève de la même phobie de l’altérité qui a poussé l’islam à scinder le monde en deux parts, le monde de l’islam et le monde de la guerre. C’est l’un ou l’autre, sans zone alternative où les non musulmans pourraient vivre en paix.

L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant. La dichotomie du “comme moi ou différent de moi” est en fait celle du “avec moi ou contre moi” qui constitue un très efficace facteur de haine et de guerre. L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant.

Dans le verbiage islamique qui se repaît de nourriture “autorisée“, le non musulman est à l’image des mets qu’il consomme : un impur. On sait, depuis la Bible, que l’impureté se transmet par contact : le texte assène que, lors des règles, l’impureté de la femme dure une semaine et se transmet à quiconque la touche ainsi qu’au lit ou au siège qu’elle utilise et à tous ceux qui touchent ce lit ou ce siège (Lévitique, 15.19-30).

Comme l’islam se réclame du mythe abrahamique, la sentence vaut donc aussi pour lui : on comprend bien que quiconque aura ingéré un aliment déclaré impur sera, physiquement, lui aussi affecté par la souillure.

Une saucisse de Toulouse accompagnée par un Cahors, quelques huîtres non égorgées en direction de La Mecque aux côtés d’un Jurançon ou le foie gras d’un canard tué sans l’invocation d’Allah et c’est l’assurance d’être relégué dans l’infamant statut des koufar face aux pieux croyants, immaculés et purs par la seule vertu de leur nourriture.

Personne d’autre que ces derniers ne montre autant d’empressement à examiner la liste complète des ingrédients d’un yaourt aux fraises pour s’assurer que n’y figure aucun émulsifiant d’origine animale, aucun colorant à base de cochenille, aucune gelée de porc, aucun alcool.

L’infidèle qui n’a que faire des phobies alimentaires musulmanes n’est qu’un sous-individu que le Coran sait accabler dans d’innombrables versets de haine et de mépris. .

Et scinder l’humanité entre des individus purs et supérieurs et d’autres impurs et inférieurs a un nom : le racisme.
 zouzette
Lundi 7 Janvier 2013

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Salem aleikoum, je me permets d'écrire car j'en ai marre, que ce soient des non musulmans ou des musulmans payer pas l'état, pour nous perdre dans notre foi, qui non jamais lu ou ouvert un coran, qui viennent nous dire ce qui est halal ou pas. fermez la une fois pour toute merci
 zouzette
Lundi 7 Janvier 2013

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Et ALERTER va alerter ailleurs
 Mejdi
Mardi 8 Janvier 2013

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@Juvenal: toi qui dit: " Hallal un racisme dissimulé" je voudrais ecouter ta these si on peut appeler cela ainsi concernant le casher qui est encore plus restrictif que le Hallal.
Aux autres: laissez les Musulmans en paix...
 Tobefruit
Mardi 8 Janvier 2013

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Juvenal ou la haine personnifiée... qui conclue par les mêmes termes qu'il dénonce...alors qu'il en est empli...haine... racisme...
Juvenal ou la pratique du sophisme sans honte... (arguments absurdes, comparaisons idiotes, diviser excessivement, argument par la foi, dicto simpliciter; double faute...)...
Vérifiez tous cette liste et vous verrez que TOUS les arguments de ce Juvenal sont fallacieux... technique préféré des extrémistes de tous genre ... et des gens qui ont peur de ce qu'ils ne connaissent pas...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sophisme#Liste_d.E2.80.99arguments_fallacieux

pas un seul argument n'est basé sur des faits, des extraits ou des études...rien... que de la rhétorique en inversant l'adjectif et le nom pour donner l'impression de maîtriser une langue qui lui échappe... car maîtrisée par ceux qu'il hait...

C'est pour cela que je ne m'abaisserai même pas à répondre directement aux arguments... c'est comme cela que l'on tombe dans le piège des amoureux du sophisme... (le pire c'est qu'il ne doit même pas le faire exprès).
 Juvénal
Jeudi 17 Janvier 2013

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« Sous ma présidence, rien ne sera toléré en termes de présence de viande halal dans les
cantines de nos écoles! », avait dit M. Hollande le 2 mai 2012 sur TF1 face à tous les
Français ! Supermenteur ? Ou va-t-il passer enfin aux actes ? Nous, parents, n'avons pas à
subventionner un culte au sein de l'école publique et laïque ! Respectons la loi de 1905.
 kamel
Mercredi 23 Janvier 2013

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isla delise ses plus hallal ses des monsange de la mosquè delyon il faut pas mangè ses au nectro narcose ses du jifa attention les frere et les soeure ne mangè pas
 nadjet nacer
Samedi 16 Mars 2013

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Bonsoir peut on m’éclairer pour quoi
Al Kanz nous ressort le coup des pains Mac Do de 2011
Et les nems AVS qui étaient fabriqués dans des ateliers qui utilisent du porc on a rien entendu sur ça j'aurai bien voulu la meme démo

http://www.al-kanz.org/2012/01/20/mcdo-porc/

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