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L’Observatoire contre l’islamophobie du CFCM cesse le contact avec la Licra

 blois
Mercredi 9 Novembre 2016

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Il faut proposer la fin des subventions publiques à la LICRA.
 Melen
Jeudi 10 Novembre 2016

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La licra tente de faire admettre une théorie selon laquelle ceux qui combattent l'islamophobie seraient des personnes qui seraient contre la laicité.
Pour faire admettre cette théorie elle use de l'argument sémantique, le mot islamophobie contenant le mot islam lutter contre l'islamophobie viserait donc à faire interdire toute critique de l'islam.
Elle invente une posture qui n'a jamais existé ailleurs que dans son esprit.
Le combat contre l'islamophobie n'a toujours concerné qu'à s'attacher à défendre les personnes victimes de discrimination, de violence, de rejet, d'agression, elle n'a jamais consisté à combattre la critique d'une religion.
La licra verse dans du complotisme, ceux qui combattent l'islamophobie serait des islamistes au service la Confrérie, ils seraient les agents de l'islam politique sous couvert d'anti racisme.
La licra dit que les musulmans victimes de racisme anti musulman se tourne massivement vers elle, qu'ils sont les plus nombreux à se tourner vers elle.
Peut etre la licra pense t-elle du coup que plusieurs organisme qui défendrait un meme racisme serait une concurrence qui lui fait du tort. Que c'est un peu marcher sur ses plates bandes.
Ca ou bien alors elle croit vraiment ce qu'elle dit. Hormis elle, ceux qui défendent des victimes musulmanes seraient des Fréristes.
Quoiqu'il en soit je ne comprends pas la posture de la licra sur la sémantique.
Personne ne dit plus aujourd'hui son racisme de façon abrupte ou plus que très rarement. Pour dire son rejet, sa haine des musulmans on n'utilise pas le mot musulman, autrement ça tomberait sous le coup de la loi.
C'est le mot islam qui est utilisé.
Le terme islamophobie convient donc tout à fait.
Islam hors d'Europe par exemple est mis pour dire son rejet des adeptes de l'islam et n'est pas qu'un simple rejet de la religion. Ou bien alors si l'on estime que c'est un rejet des adeptes d'une religion mais que c'est une opinion que l'on peut trouver légitime tout ce sur quoi sont basés nos valeurs n'a plus de sens.
On pourrait accepter des christianisme hors du Moyen Orient comme étant un discours tout à fait légitime et ce ne serait pas une radicalité, un extrémisme, il est inutile de préciser qui dit ça, ils sont mondialement connus.
On ne peut pas dire d'un discours qu'il est haineux, extreme et dans un meme temps dire son contraire.
On ne peut pas estimer d'un meme propos qu'il n'a pas le meme dégré, le meme sens selon qu'il vienne d'un tel ou d'un autre. C'est incohérent.
On ne pas dire d'un terme comme islam hors d'Europe s'il vise seulement la religion ou s'il vise les adeptes. Personne ne se le demande. C'est un propos qui vise à rejeter les deux mais c'est une façon habile de dire son rejet sans avoir besoin d'utiliser le mot musulman, si c'était dit ainsi ça pourrait tomber sous le coup de la loi.
Dire du terme islamophobie qu'il est un terme qui vise à dire son rejet de l'islam et pas des musulmans est inexact. Pour dire son rejet, sa haine des musulmans c'est le mot islam qui est utilisé et pas le mot musulman.
 Dullier
Vendredi 11 Novembre 2016

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Je conseille à notre rédacteur du jour et surtout à tout citoyen "curieux" de lire le livre de Zined El Rhazoui, athée de culture musulmane, "Détruire le Fascisme Islamique" et plus précisément le chapitre traitant du sujet ci-dessus "L'islamophobie, une imposture intellectuelle" ...
Bonne lecture et ... bonne réflexion.
 Kirat
Samedi 12 Novembre 2016

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"Retenez moi ou je fais un malheur"!
Voilà comment on pourrait qualifier l'instance liée au Cfcm qui dit qu'elle va cesser tout échange et tout contact avec la Licra.
La belle affaire!
Faudrait arrêter cette fanfaronnade devenue habituelle chez les gens du Cfcm alors qu'ils sont dociles et craintifs.
-Rappelons-nous l'épisode de M.Cuckierman ancien president du Crif qui avait stigmatisé les jeunes musulmans. Après avoir bombé le torse au Cfcm on avait assisté à leurs retrouvailles sur le perron de l'elysee avec lincriminé et on a vu bras dessus bras dessous Boubakeur et M.Cuckierman.
-De même que l'histoire du pain au chocolat de M. Coppé. A peine menacé de plainte par cette instance du Cfcm, l'homme politique obtint sans concession le retrait de toute poursuite.
-Autre fait marquant c'est le debat sur l'islam organise par le parti de Sarkozy en juin 2015 suivi de déclarations de boycot par les membres du Cfcm avant qu'ils n'y aillent dar dar assister à cette forfaiture. On y avait même vu Boubakeur, impotent et incapable de se mouvoir, soutenu par Sarkozy pour marcher jusqu'à la salle du débat.
Etc, etc, etc...
Arrêtons la mascarade svp.
 François CARMIGNOLA
Dimanche 13 Novembre 2016

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Il est tout à fait intéressant de voir que ce nouveau mot "islamophobie" n'arrive pas à s'installer. Refusé par la Licra, mais pas seulement, des candidats à l'élection présidentielle le refusent aussi et donc on est bien au delà des personnes de culture ou de confession juive (comme il est bizarrement mentionné dans l'article). Comme si c'était important. Au moins aussi important que l'inverse, le principe de l'action et de la réaction jouant à plein en ces matières.
En tout cas, le combat pour son emploi semble perdu, on l'associe maintenant, bien au delà de la volonté d'interdire la critique d'une religion, à l'islamo-fascisme en général. Voilà un autre nouveau mot, et il va falloir jouer en défense, maintenant.
 Melen
Lundi 14 Novembre 2016

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La licra parle de racisme anti musulman. Le racisme à l'endroit des religions est un héritage de l'hitlérisme, la racialisation des adeptes d'une religion, c'est ce que signifie le mot antisémite que l'on appelle aussi judéophobie, tous les juifs ne sont pas sémites le mot judéophobie ou antisémite concerne la religion mais aussi les adeptes du judaisme.
Les musulmans ne sont pas une race, une ethnie non plus, il n'est pas question de racisme.
Le mot arabophobie que préconisent certains est inconvenant, tous les musulmans ne sont pas arabes. la discrimination ou les violences à l'endroit des musulmans n'existe que parce qu'ils sont des adeptes de l'islam, c'est de l'islamophobie et pas un racisme. Je n'ai rien contre les musulmans je n'aime pas l'islam c'était l'angle de défense de C.Boutin, je n'ai rien contre les homosexuels c'est l'homosexualité que j'évoque, elle a été condamnée.
 Melen
Lundi 14 Novembre 2016

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C'est le mot islamophobie qui convient, les musulmans ne sont pas une ethnie, ce n'est pas un racisme, ce terme est inconvenant, c'est la haine des adeptes d'une religion, l'islam.
Le racisme anti musulman est de l'islamophobie comme le racisme anti juif est de l'antisémitisme.
La sémantique, le terme islamophobie laisse penser qu'il concernerait l'islam, celle du mot antisémitisme qu'il concernerait les sémites mais en réalité ce sont les adeptes de l'islam pour l'un, du judaisme pour l'autre qui sont visés.
Il est certain que certains peuvent prétendre en etre victime tandis que ce n'en est pas. Ou inversement que certains peuvent prétendre qu'en incriminant ils ne visent pas les adeptes mais seulement leur religion.
On ne peut en juger qu'en ayant un exemple précis pour savoir le déterminer, que ceux qui invectivent expliquent leurs points de vue, que ceux qui se disent victime expliquent eux aussi leurs points de vue.
Mais antisémitisme ou judéophobie et islamophobie sont les termes qui servent à désigner les adeptes d'une religion.
 Melen
Lundi 14 Novembre 2016

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Pour combattre le salafisme il faut combattre l'arabophobie et l'antisémitisme. Je crois que c'est C.Cambadelis qui a dit ça.
Si quelqu'un comprend quelque chose à une telle analyse bravo.
La mienne c'est qu'il se refuse lui aussi à prononcer le mot islamophobie.
Ou bien alors qu'il considère que les musulmans sont tous arabes.
Je ne vois pas le rapport entre le politico-religieux qu'ils soient l'islamisme ou le sionisme avec le racisme. Ou bien alors c'est considérer que les deux ne sont qu'un, religion et origine ne feraient qu'un.
 Melen
Lundi 14 Novembre 2016

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G.Keppel dit le contraire lui.
La Confrérie aurait persuadé les jeunes issus de l'immigration qu'ils ne sont pas victimes de racisme anti arabe.
Elle les aurait convaincu de se placer dans une position victimaire, les aurait persuadé que les discriminations qu'ils subissent seraient du au fait qu'ils sont musulmans.
Il y a de quoi y perdre son latin.
 Melen
Mardi 15 Novembre 2016

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Ce qu'il faut dire aussi et que personne ne pense à évoquer c'est que l'islamophobie ou la judéophobie peuvent toucher les musulmans ou juifs non religieux.
Meme s'ils ne sont pas pratiquants ils se sentent concernés voir visés eux memes, c'est une part de leur identité, leurs parents ou amis proches sont pratiquants eux ne le sont pas, mais ils se sentent concernés, blessés eux aussi que leurs parents puissent faire l'objet de rejet.
Juifs ou musulmans non pratiquants sont d'ailleurs souvent très impliqués dans cette lutte, c'est peut etre ce que Cambadélis veut dire en évoquant les arabes. C'est aussi un engagement que l'on retrouve chez des catholiques non pratiquants, les non croyants se sentent concernés, visés par le rejet, la haine à l'endroit du catholicisme. On peut donc dire que le rejet des religions, des croyants ne concerne pas seulement les croyants eux memes, mais qu'il concerne croyants et non croyants.
 Melen
Mardi 15 Novembre 2016

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Un exemple de cet amalgame origine et religion.
A propos de prix littéraire remis à des maghrébines un commentaire du type,
"J'espère que les femmes qui veulent se radicaliser vont plutôt prendre exemple sur ces femmes récompensées.
Amalgame, confusion entre religion et origine. Maghrébine égale musulmane. Comme si les deux ne faisaient qu'un.
Il existe d'autres travers aussi. Par exemple demander aux musulmans de s'exprimer en tant que musulman puis tout son contraire, aux musulmans de ne pas s'exprimer en tant que musulman.
Je pense que c'est ce qu'à voulu dire récemment et maladroitement G.Keppel.
Ils doivent s'exprimer sur le terrorisme, mais ils ne doivent pas le faire sur l'islamophobie.
Ou bien alors s'il croit ce qu'il dit c'est que comme beaucoup il a basculé dans des théories du complot, qu'il n'est plus un sociologue mais un idéologue. Qu'il cherche des personnes physiques à désigner pour faire valider les thèses qu'il exprime dans ses livres.
L'émancipation des jeunes issus de l'immigration dérange. Pour les discréditer on les assigne à leur religion. Ils sont d'origine immigrées, par conséquent ils sont des musulmans et il faut donc les soupçonner dès lors qu'ils abordent des thèmes qui nous pose problème, qui nous incrimine.