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L'islamophobie en France, une réalité dénoncée par Amnesty International

 Sophie Lazier (Paris - France)
Mardi 24 Avril 2012

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Le slogan dit : "Vrij in mijn hoofd ben ik al nu nog op mijn hoofd". On peut le traduire ainsi en français : "Libre dans ma tête, je le suis également sur ma tête".
  chabri
Mercredi 13 Juin 2012

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On parle troujours de l'islamophobie mais jamais de la christianophobie ! Exemple
: L'année dernière et cette année encore à Carcassonne , des catholiques qui priaient dans un lieu de culte , ont été caillassés . ; Et je ne parlerai pas des chrétiens massacrés un peu partout dans le monde . En Algérie ., les coupables qui ont décapités des moines ( des hommes de paix et de tolérance qui ont soigné la population ) n'ont jamais été arrêtés . L'armée algérienne connait ceux qui ont commis ce forfait .
 CHANAUX
Vendredi 24 Août 2012

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QUE VOUS INSPIRE LES AGRESSIONS DES "RELIGIEUX" EN TUNISIE
 Olivier DE GROOTE
Mercredi 5 Septembre 2012

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"Islamophobie". Chaque fois fois que je vois ce mot, je pense à cette article:

http://djavann.wordpress.com/2007/05/07/islamophobie-un-terme-invente-par-les-mollahs-iraniens/
 Peter Stone
Dimanche 7 Octobre 2012

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Pour moi, le "problème" n'est pas celui de l'Islam ni de n'importe quelle religion ou de ses adeptes. C'est celui de l'espace et du poids revendiqués par elles et par eux !

Selon la Charte UNIVERSELLE des Droits Humains (ONU 1948 et subséquentes) : "Toute personne est libre de pratiquer la religion de son choix, dans le cadre du droit à la liberté d'opinion et à la liberté de penser".

Mais ce principe intangible s'incarne au sein de sociétés diverses, régies par des lois.
En France, par exemple, ce droit est inclus dans le cadre des libertés et droits individuels, pondérés par les devoirs citoyens.

Dans un tel cadre, qui ne prévoit pas - pour l'heure - de restriction quant aux signes extérieurs d'appartenance à tel groupe, des limites (par amendements) ont été posées :
"Sont interdits :
- les manifestations sur place ou dans les espaces publics non annoncées ou autorisées
- le port de vêtements susceptibles de masquer l'identité d'une personne
- l'immiscion dans le débat public, social et politique de telle ou telle faction
Toute infraction, tout manquement aux préceptes de ce code législatif est réputé troublant l'ordre social - par les mots employés ou le comportement adopté - et se trouve, par le fait, encourir les peines prévue par le code pénal pour ces infractions".
Celles-ci peuvent aller du simple procès-verbal dressé et assorti de l'amende prévue conforme au type de l'infraction, jusqu'à certaines peines d'emprisonnement".

On ne peut être plus clair ! A partir du moment où, des manifestations sont pacifiques et autorisées, de la part de n'importe quel groupe, notamment religieux, elles sont licites. Si elles ne sont ni autorisées, ni pacifiques, dans leurs propos ou leurs actes, elles sont passibles des dispositions légales prévues. (sic le Code civil et pénal en vigueur).

Peter, Haute-Savoie