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Laurence Rossignol : le CCIF accompagne plus de 400 plaintes pour injure raciale
Sauf erreur de ma part il semblerait que les associations qui font profession de lutte contre le racisme ( sos racisme, mrap, licra ) n (aient rien dit. Parceque la personne en question est de gauche ? Ferait-on de la politique sous couvert d 'antiracisme ?
Paris. C'est à la tete du client. Ce sont des décisions politiques.
Un intellectuel reconnu qui dit des horreurs c'est sensé, pertinent.
Un identitaire qui dit les memes c'est intolérable, insupportable, raciste.
Une ficelle qui devient très fréquente c'est d'écrire pour dire ce que l'on a envie de dire.
On colle le mot roman, ainsi c'est estampillé comme étant de l'art.
De la sorte des propos qui dit dans une conversation seraient condamnés, ça devient une atteinte à la liberté d'expression puisque c'est de l'art.
Ca se fait dans le journalisme également. Un tribune rance accordée à un chroniqueur dans un journal, c'est attaquer la liberté de la presse.
Un dessin de gauche douteux c'est de l'art. Le meme dessin dans un journal d'extreme droite il devient un dessin rance.
Moralité. Tout dépend de qui ça vient.
Ce ne sont pas les expressions qui sont estampillées comme étant condamnables, mais les personnes.
Or normalement c'est l'inverse.
C'est donc politique. On estime, on jauge et selon de qui ça vient on se fait une idée positive. Ou l'inverse. Négative.
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