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Le 6 mai 2007, les électeurs auront le choix entre Sarkozy ou Royal
Salam,
Le choix se fera la mort dans l'âme: voter Ségo contre SARKO, atlantiste-sionniste, massacreur de nos frères et soeurs du Moyen-Orient !!!!
Il y a une chance de lui barrer la route : tous ceux et celles qui ont voter Bayrou, doivent reporter leurs voix sur SEGO, fut-il douleureux à faire !!!!!!!!!!!!!!!
POUR NOS FRERES ET SOEURS PALESTINIENS, le Liban! Rappelez-vous ses propos: "b[Israel a le droit de se défendre]b", pour l'Iran, la SYRIE, quand bien même le PS des "éléphants" est Pro-israélien !!!!!!
Salam 'Alaykum
Ne vous leurrez pas! Nous pouvons être pour l'un ou l'autre, pour Sarkozy ou Ségolène, si on se place sur le plan économique, environnemental, ou encore de la défense nationale. Mais ils sont tous les deux identiques concernant leur rapport à l'Islam et leur animosité vis à vis des croyants de la oumma. Le PS véhicule et support d'ailleurs un sionisme vicieux, et un langage pernicieux sur nos frères et soeurs. Le PS, a commencé par Ségolène, est la maison mère de l'association Ni Putes Ni Soumises. Il ne sont pas plus pour la libération du peuple palestinien, voire plus violent que Sarkozy sur ce sujet. Ils ont voté en masse la loi contre le hijab et j'en passe. Julien Dray, Ségolène Royal, Fabius etc. C'est toute une idéologie.
Quant à Sarkozy, c'est la même chose, mais exprimée de manière plus explicite, plus violament. Il faudrait donc choisir entre les vicieux et les violents. Quel est le plus dangereux?
Ainsi, lorsque j'entends certains dire, on vote ségolène contre sarko, en vérité rien n'est réfléchi il choisisse le pire pour le pire. Il ne faut pas éluder la crainte d'Allah dans cette affaire.
Quant à ceux qui ont préféré Bové à Bayrou ils n'ont rien compris. C'est du gaspillage de voix. C'est pas parce qu'il est pour la création d'un Etat palestinien qu'il est crédible. Je rapel quand même qu'il est pour le mariage et l'adoption pour les ... transexuels. C'etait le mec pour qui il ne fallait pas voté, il n'avait aucune chance d'arriver au second tour, et il fait parti de l'extreme gauche. Notre religion nous recommande le juste milieu.
Ce qui est fait est fait. Maintenant il faut rentrer dans les subtilités dans les déclarations cachées de Ségo et Sarko. leur volonté cachée, ce qu'il disent et ce qu'il ne disent pas.
Je vous renvoie au magazine La Vie, un magazine chrétien, il y a eu dans l'avant dernier numéro un dossier sur le rapport de chaque candidat avec la religion, y compris l'Islam...vous allez être étonné parce que c'est organisé en interview. Y a eu des surprises sur certaines déclarations. Wa salamu 'alaykum wa rahmatoullah.
- REGARD D’UN SYNDICALISTE (de base) SUR LES ELECTIONS -
ou
- Un « impôt » citoyen à honorer spontanément –
Mettre son bulletin de vote dans l’urne est pour beaucoup un geste politique. Ils ont tort car il s’agit en fait d’un geste citoyen ! Avant de détailler quelque peu, arrêtons-nous un instant sur les « sans papier ». Ces derniers font régulièrement la une de l’actualité dans leur aspiration à la régularisation voir à la citoyenneté : n’est-ce pas quelque part mépriser cette dernière que de rester chez soi le jour des élections lorsque l’on a le privilège envié par beaucoup d’être citoyen ?
Les abstentionnistes souligneront qu’aujourd’hui « tout fou le camp » et c’est vrai… S’il faut s’en convaincre, citons deux brillants intellectuels. Le premier appartient à la gauche républicaine, Jacques Attali. Il écrit : « les statues de Marx, de Engels et de Lénine sont déboulonnées. Il n’est aujourd’hui plus guère de pays au monde pour s’y référer » (au communisme). (L’esprit du monde -p.501). Le second, Luc ferry, relève de la droite républicaine. Il déclare : « La démocratie nous promettait la possibilité de prendre enfin part à la construction collective d’un univers plus juste et plus libre, or nous perdons aujourd’hui presque tout contrôle sur le cours du monde. Trahison suprême des promesses de l’humanisme » (Apprendre à vivre - p.238).
Comme si les sociaux-démocrates avaient l’impression de vouloir retenir dans leurs mains, au mieux du sable, au pire de l’eau… Oui, la mondialisation et ses prérogatives s’oppose à la notion l’Etat providence qui par diverses lois nationales arrivait à réguler la sauvagerie de l’ultra libéralisme avec comme objectif le bonheur de ses ressortissants.
Aujourd’hui, face à demain, le vertige est réel… Plutôt que d’aller voter, certains vont à la pêche et d’autres se replient sur leur nombril, c’est le communautarisme. Ce faisant, les uns comme les autres laissent le champ libre à tous ceux qui rêvent d’une déstructuration toujours plus grande de notre existant… D’ailleurs, Bernard Van Craeynest, Président de la CFE CGC rappelait dans la Lettre confédérale du 21/12/2006 : « que les classes moyennes ne se sentent pas impliquées dans l’avenir et l’orientation de notre pays, cela me semble porteur de germes dangereux...»
Lors des prochaines échéances, il faut donc et malgré tout aller voter : Je parlerai, d’un impôt citoyen à honorer spontanément. Car un pouvoir est d’autant plus fort (comprenez légitime) que l’abstention est faible. Et c’est aussi cette légitimité qui lui permettra d’agir, ou tout au moins d’essayer !
Citons aussi deux autres raisons : la démocratie n’est ni l’Eldorado, ni le Pérou, ni Byzance, elle est même « le pire des régimes »… Mais, à juste titre, l’adage conclue en précisant qu’il n’en existe pas de meilleur ! Car enfin, ouvrons nos livres d’histoire, lisons les journaux : Il apparaîtra alors qu’elle est le seul rempart contre les tous les criminels excès, contre l’ensemble des perfidies qui jalonnent l’Histoire, du bûché à la fatwa, du camp de concentration au goulag. Elle seule régule la folie humaine et c’est la servir que d’aller voter ! Et puis, entre le « tout état » qui a sévit à l’est pendant des décennies, et le « tout libéral » qu’un vent d’ouest tente d’amener sur nos terres, existe la social-démocratie. Elle mérite de vivre ! Le paritarisme que nous connaissons en relève et les attaques dont il est l’objet sont inquiétantes et symptomatiques...
Revenons sur notre introduction. S’il ne se fait pas en mettant un bulletin dans l’urne, où se fait le geste politique lorsque nous sommes au bureau de vote ? Dans l’isoloir… Seul, avec nos convictions et à face notre conscience nous faisons un choix qui est politique… Pour assurer le moins, il est normal que les candidats promettent le plus. Ce n’est pas (obligatoirement) de la démagogie. Et puis on ne simule que ce que l’on est. D’ailleurs, personne ne voudrait d’un programme au rabais ! Les choix des syndicalistes ne seront pas identiques car un syndicat n’est pas un parti politique. Un syndicat, tout en étant une force de proposions qui interpelle les décideurs, défend des intérêts catégoriels sans chercher obligatoirement à voir en premier l’intérêt général que nous pouvons ressentir différemment les uns des autres. Un parti politique digne se doit d’avoir une vision générale lui permettant de gérer au mieux l’ensemble des intérêts catégoriels. Et c’est en analysant les différents programmes -autant de « visions générales »- et en allant au-delà du poids de l’image, que nous feront un choix, notre choix.
S’il y a des dates à entourer au feutre indélébile sur notre agenda, c’est bien celles des prochaines élections : oui, aux urnes Citoyens !
- COLPIN Didier – 04/ 2007 -
Si vous hésitez encore entre Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal je pense que les deux sont aussi faux l'un que l'autre mais ne réfléchissez plus c'est pas forcément pour Ségolène Royal mais surtout CONTRE Sarkozy !!!! Ne l'oubliez pas !!
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