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Le Mali, la France et les extrémistes

 Juvénal
Vendredi 18 Janvier 2013

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L'islamisme, qu'est-ce ?

L’islamisme est le sérum de vérité de l’islam ! son révélateur conscient ! L'islamisme a au moins le mérite de faire tomber les masques, de prendre de contre-pied les thuriféraires de cet islam fabulé et encensé comme s’il était une nouvelle révolution humaine, un hymne à la paix universelle et à l’amour du genre humain, indépendamment de toutes les différences. Valider l’équation islam égal islamisme Plutôt que de dénoncer les dérives qui dénaturent et défigurent l’islam dont on accuse l’islamisme, et lui intenter des procès d’intention sans pour autant purger le corps de l’islam de ce pseudo mal qui le ronge et qui, en réalité, lui sert de masque pour dissimuler au regard du monde la dangerosité de l’idéologie musulmane, il est plus que temps de valider l’équation de l’islam égal islamisme et en finir avec toutes ces idées fantasmagoriques et légendées sur l’islam. L’islamisme est le miroir dans lequel se reflète l’image de l’islam dans toutes ses formes et nuances, au moindre petit détail. Mais il est plus que ça. Il est son organe et sa substance, qui le fait passer du monde romancé et virtuel au monde réel. Il est son amplificateur de sons, de la fureur, et de la terreur qui couvent, et prolifèrent en son sein. Les attentats terroristes, les éclats d’obus, les bruits assourdissants des bombes sont devenus la musique funeste du Requiem que les musulmans dits radicaux (en réalité les vrais musulmans, contrairement aux musulmans « modérés » qui sont des égarés), composent et mettent en musique depuis les attentats du 11 septembre 2001. Ce qui avait été un mensonge, une tromperie sur la marchandise, un dol, un mythe jusqu’alors enfoui dans le subconscient culturel des musulmans et du politiquement correct occidental est enfin mis à nu et révélé au grand jour. Nier tout cela, c’est faire le jeu, et se rendre complices des ennemis de l’humanité que sont les islamistes.
 Juvénal
Vendredi 18 Janvier 2013

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toujours au nom de l'islam

la presse Marocaine ne tient pas de double langage fumeux comme T.R.

Les groupes islamistes qui contrôlent le nord du Mali prônent un islam rigoriste.
L'hebdomadaire marocain TelQuel s'est rendu sur place, au cœur du djihad malien, pour voir comment est appliquée la loi religieuse. Une religion de paix, dit M.Moussaoui de l'UOIF ! Sur la place du marché de Tombouctou, des porteurs bousculent des passants. Des vendeuses de légumes marchandent avec des clients. Des bouchers exposent leur viande sur des étals envahis par les mouches. Dans les rues, des motos cèdent le passage aux camions, tandis que des gamins, pieds nus, tapent dans un ballon de fortune. Soudain, un convoi de véhicules surmontés d'armes lourdes traverse la place pour disparaître en direction de la sortie orientale de la ville. Le convoi s'arrête pour encercler une vaste cuvette de sable mou, grande comme deux ou trois terrains de foot. En quelques minutes, une foule immense envahit la place, puis une voix relayée par un haut-parleur s'adresse au public. "C'est la charia, c'est la loi d'Allah", répète plusieurs fois l'homme au micro. Encadré par trois ou quatre gardes, un homme au teint clair, au crâne dégarni et à la barbe fournie, sort d'un tout-terrain qui vient d'arriver au milieu de la cuvette. C'est Moussa Ag Mohamed, un éleveur touareg de 40 ans originaire de Goundam, petite ville située à 90 km au sud-ouest de Tombouctou. Ce père de quatre enfants est le premier condamné à mort dans le cadre de l'application de la charia par le mouvement Ansar Dine (les défenseurs de la religion), un des groupes jihadistes qui contrôlent le nord du Mali. Aidé par ses gardes, Moussa, pieds et mains liés, avance en titubant. On lui ôte ses liens. Le temps d'une dernière prière, d'une dernière larme aussi. L'homme se met à genoux. Venue de derrière lui, une balle lui perce le coeur, traverse le torse, puis meurt dans le sable, juste devant ses yeux. De puissants "Allah Akbar" retentissent, tandis qu'un filet de sang coule lentement sur sa poitrine. Moussa se couche, se relève, se recouche, murmure quelques mots. On devine qu'il demande à être achevé. Une seconde balle le jette définitivement sur le sable tiède. "Il a tué mon fils, il doit être tué" Jugé par un tribunal islamique, il venait d'être reconnu coupable du meurtre d'un pêcheur noir de la communauté des Bozos, suite à un incident provoqué par ses vaches, qui avaient abîmé les filets de sa victime. Selon les préceptes de la charia, Moussa, lui-même membre d'Ansar Dine, n'avait aucune chance de sauver sa tête : la famille de la victime ne lui a pas accordé son pardon, ni n'a accepté les 30 millions de francs CFA (45 000 euros environ) que ses proches ont proposés en guise de diya, c'est-à-dire le prix du sang prévu par la charia. "Il a tué mon fils, il doit être tué", confie sèchement la mère du pêcheur, voilée dans un boubou aux couleurs vives et contemplant le corps immobile du Touareg. Voulait-elle s'assurer qu'il était bien mort ? Sans doute. Au Mali, comme dans la plupart des pays du pourtour du Sahara, le sceau de la méfiance est le marqueur principal des rapports entre sédentaires noirs et nomades au "teint clair" ou "peau rouge", c'est-à-dire des Touaregs et des Arabes. Et ces derniers étant dominants au sein des groupes islamistes qui contrôlent le nord du pays, leurs actes sont souvent perçus avec suspicion parmi les populations noires. Plusieurs jours après la mise à mort du berger touareg, dans certains milieux noirs de la ville, on mettait encore en doute son exécution. "Il n'a pas bougé quand ils ont tiré la première balle, puis il s'est relevé. C'est quand même bizarre", s'étonnait, par exemple, derrière son comptoir, Baba, un commerçant songhaï, la principale ethnie noire du nord du Mali. "Vous avez été à son enterrement ?", demandait Yahya, un lycéen, installé au "grain", ce petit coin de rue où les jeunes Maliens aiment se retrouver entre amis. Les ordres de Dieu ne se discutent pas "La charia s'applique à tout le monde, Noirs ou Blancs, y compris nos propres combattants", explique Sanda Ould Bouamama, porte-parole d'Ansar Dine, faisant allusion à la "filiation" islamiste du Touareg exécuté. Selon la tradition musulmane, c'est sa famille qui devait l'enterrer. Mais celle-ci n'a pas souhaité le faire. Restée à Goundam, elle n'avait pas assisté à son procès. Moussa a donc été enterré par les islamistes eux-mêmes. C'était le lendemain de son exécution. Tôt le matin, à l'aube, juste après la première prière du jour, sa dépouille, drapée dans un linceul blanc, avait été amenée dans une mosquée de la ville pour la traditionnelle salat al-janaza, la prière du mort. Des dizaines de croyants étaient présents. Tous ou presque étaient des djihadistes. "C'était trop fort", dit Al Mouataz Billah, un combattant islamiste revenant du cimetière. "C'était trop dur", ajoute Abou Jendel, son compagnon. "Je n'ai presque pas dormi de la nuit", complète un autre. Entre yeux embrumés et voix enrouées, le trio avoue qu'il aurait bien souhaité voir le Touareg épargné. Et si l'un d'entre eux avait été désigné au peloton d'exécution ? Auraient-ils désobéi aux ordres ? Certainement pas. "La charia est une obligation divine et elle s'impose à tout musulman. C'est une fierté pour tout croyant sincère de participer à son application", explique l'imam Daouda Cissé, membre du tribunal islamique qui a prononcé la condamnation du berger touareg. Lui aussi dit qu'il aurait bien voulu voir Moussa sauvé. "Même s'il prévoit la peine de mort, l'islam recommande aussi le pardon. Mais la famille de la victime a refusé de pardonner. Et c'était son droit. Ce n'est donc pas nous qui avons décidé de tuer cet homme. C'est Dieu qui nous l'a imposé et les ordres de Dieu ne se discutent pas", dit le religieux.
 Juvénal
Vendredi 18 Janvier 2013

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Méthodes d'une époque que l'on croyait révolue !
Prise d'otages chez BP : quand on trie dans un camp des kuffars d'un côté et des musulmans de l'autre...ça ne vous rappelle rien ?
 sunny
Vendredi 18 Janvier 2013

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Juvénal, vous écrivez bien, mais faux.
 REDER
Vendredi 18 Janvier 2013

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Juvénal: vous avez entièrement raison. Bravo.

Sunny: oui, Juvénal écrit très bien, mais c'est vous qui êtes loin de la vérité, par conditionnement probablement.
 DIB MOHAMED
Vendredi 18 Janvier 2013

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la loi de DIEU n'est jamais mauvaise. si elle nous parait à nous humains injuste il ya deux raisons:
- on ne comprend pas la loi et on la traduit faussement ou mal
- on ne connait pas la sagesse qu'elle contient
une loi divine ne peut-etre definie comme une loi humaine et ne peut-etre appliquée comme une loi humaine.
 sunny
Vendredi 18 Janvier 2013

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@REDER
Je suis sans doute conditionnée comme près du quart de la population mondiale. Cette poignée d'illuminés a mieux compris que tous ces pauvres musulmans conditionnés, et vous aussi., bien sûr.
si les "vrais" musulmans étaient des barbares sanguinaires, cette planète serait à feu et à sang. Vraiment.
 aurélie92
Samedi 19 Janvier 2013

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Merci pour cette analyse éclairante !

Salam à tous
 Juvénal
Samedi 19 Janvier 2013

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Mais dieu est mort depuis longtemps, après avoir vu les hommes se prévaloir et accaparer un pseudo-discours qu'il lui ont attribué pour des motifs profondément cupides !
 DIB MOHAMED
Samedi 19 Janvier 2013

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pour quelques uns , faire preuve d'esprit c'est défier Dieu. et ce ne sont pas les plus doués parmis les hommes.car ceux qui sont inteligents se posent les bonnes questions.
 Juvénal
Dimanche 20 Janvier 2013

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Les Mausolées de Tombouctou

Inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO n'ont donc pas été détruits au nom de l'islam authentique et les bras coupés au nom ne la charia non plus sans doute ? Ces barbares ne font qu'appliquer l'intégralité de l'islam. On veut nous cacher que ce sont de vrais musulmans, contre lesquels aucune fatwa n'a jamais été lancée et pour cause... Ouvrons les yeux !!!
 DIB MOHAMED
Dimanche 20 Janvier 2013

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l'aveugle c'est celui qui ne voit pas avec son coeur. les musulmans n'enragent pas contre les non musulmans, ils sont convaincus qu'ils trouverons chez Dieu ce qu'il leur a promis, une de leurs vertus est la patience. et, on peut etre patient quand on a la conscience tranquille!
notre grandeur on la puise de la grandeur de Dieu, parler pour ne rien dire ne nous interresse pas.
ceux qui se croient forts sans Dieu qu'ils disent qu'ils sont certains de ne pas mourir demain, avec une profonde conviction et sans se mentir à eux meme.
 Juvénal
Dimanche 20 Janvier 2013

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Oh le grand Mamamouchi Ramadan, qui transpire effectivement, ou qui sue la fourberie du double langage ad usum delphini ! On ne vénère que dieu seul, pas cette minable créature qui ne vaut pas mieux que vous ou que moi ! Un cuistre, imbu de lui-même et pontifiant, alors qu'il n'est que le piètre rejeton d'Hassan el Banna. Il est tellement intelligent ce personnage, que parfois il ne se comprend même pas lui-même, emporté par sa logorrhée !
 lr407
Mercredi 23 Janvier 2013

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La France n’a jamais quitté l’Afrique, elle a juste remis le treillis de ses militaires aux nouveaux despotes formés dans les laboratoires de l’hexagone bien avant que les colonisés n’accèdent à l’indépendance.
Quant aux peuples, ils payent le prix de leurs crédulités à ce jour.



http://www.kabyle.com/fr/articles/paris-et-les-anciennes-colonies-21389-21012013