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Plus de 11 % des Français achètent halal
HALLAL ou CASHER UN RACISME DISSIMULÉ
L’astuce de présenter les interdits alimentaires comme une émanation d’une volonté supérieure est observée aussi bien dans l’Ancien Testament que dans le Coran. Affirmer plus franchement que ces prescriptions ont pour seule finalité l’enfermement du croyant dans une norme culpabilisante où, à chaque instant, celui-ci craint l’égarement, aurait vu la diffusion des sectes monothéistes beaucoup moins couronnée de succès. Le judaïsme a réalisé un travail pesant dans la distinction entre le licite et l’illicite dans le Pentateuque et l’islam se contentera d’en reprendre une bonne partie. Mille quatre cents ans après l’invention de l’islam par un chamelier analphabète reconverti en chef de bande, les phobies alimentaires demeurent toujours extrêmement prégnantes dans le monde musulman. L’obsession du halal devient même une mode aux allures revendicatrices chez de nombreux jeunes musulmans : exécrer le porc devient un symbole de vertu alors que n’importe quel bon vivant non frustré par une religion castratrice s’égaillera à l’idée que “dans le cochon tout est bon“. Quel consommateur non halal ne s’est jamais senti insulté ou méprisé quand un obsédé du halal affiche son dégoût du porc ? Lorsqu’un fanatique des interdits coraniques demande, inquisiteur, la composition précise du met qui lui est aimablement proposée, comment ne pas être vexé par cette suspicion qui se porte aussi sur celui qui offre ? Spécificité culturelle ou progression rampante d’une idéologie de rejet ? Ce que les pleutres acceptent comme une prétendue spécificité culturelle (la véritable culture n’enferme pas l’individu) est en fait la progression rampante d’une idéologie de rejet de la différence. Récemment, une campagne d’affichage d’Isla Délice pour la promotion des produits halal montre divers animaux clamant qu’ils sont “fièrement halal“. Quand on sait que ces bestioles finiront égorgées par un mystique persuadé qu’Allah tient son couteau, on mesure mieux le caractère provocateur de cette campagne dont le slogan décrypté serait plutôt : “le halal est l’étendard de l’islam“. Ce qui, incidemment, montre aussi que les amateurs de halal sont encore loin d’avoir pris conscience de la nature barbare et archaïque du rituel imposé. Le concept de nourriture halal ne se limite pas à la distinction, qu’on pourrait juger anecdotique ou simplement gastronomique, entre les aliments autorisés et ceux interdits. Opposer le halal au haram relève de la même phobie de l’altérité qui a poussé l’islam à scinder le monde en deux parts, le monde de l’islam et le monde de la guerre. C’est l’un ou l’autre, sans zone alternative où les non musulmans pourraient vivre en paix. L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant. La dichotomie du “comme moi ou différent de moi” est en fait celle du “avec moi ou contre moi” qui constitue un très efficace facteur de haine et de guerre. L’obsession de la nourriture halal est celle du pur face à l’impur, du fidèle face à l’infidèle, de l’élu face au mécréant. Dans le verbiage islamique qui se repaît de nourriture “autorisée“, le non musulman est à l’image des mets qu’il consomme : un impur. On sait, depuis la Bible, que l’impureté se transmet par contact : le texte assène que, lors des règles, l’impureté de la femme dure une semaine et se transmet à quiconque la touche ainsi qu’au lit ou au siège qu’elle utilise et à tous ceux qui touchent ce lit ou ce siège (Lévitique, 15.19-30). Comme l’islam se réclame du mythe abrahamique, la sentence vaut donc aussi pour lui : on comprend bien que quiconque aura ingéré un aliment déclaré impur sera, physiquement, lui aussi affecté par la souillure. Une saucisse de Toulouse accompagnée par un Cahors, quelques huîtres non égorgées en direction de La Mecque aux côtés d’un Jurançon ou le foie gras d’un canard tué sans l’invocation d’Allah et c’est l’assurance d’être relégué dans l’infamant statut des koufar face aux pieux croyants, immaculés et purs par la seule vertu de leur nourriture. Personne d’autre que ces derniers ne montre autant d’empressement à examiner la liste complète des ingrédients d’un yaourt aux fraises pour s’assurer que n’y figure aucun émulsifiant d’origine animale, aucun colorant à base de cochenille, aucune gelée de porc, aucun alcool. L’infidèle qui n’a que faire des phobies alimentaires musulmanes n’est qu’un sous-individu que le Coran sait accabler dans d’innombrables versets de haine et de mépris. Et scinder l’humanité entre des individus purs et supérieurs et d’autres impurs et inférieurs a un nom : le racisme.
« Sous ma présidence, rien ne sera toléré en termes de présence de viande halal dans les
cantines de nos écoles! », avait dit M. Hollande le 2 mai 2012 sur TF1 face à tous les
Français ! Supermenteur ? Ou va-t-il passer enfin aux actes ? Nous, parents, n'avons pas à
subventionner un culte au sein de l'école publique et laïque ! Respectons la loi de 1905.
Je n'achète plus les articles soit disant halal des supermachés depuis que le marché a été retiré à AVS pour avoir refusé d'avaliser l'electro-narcose
Au Québec, tous achètent du kasher, mais sans que tous soient au courant. En effet faut-il au moins savoir reconnaître les logos...
Mais l'arnaque, c'est que tous doivent payer pour ces logos puisqu'il en coûte aux compagnies pour les voir apparaître sur leur produit... Même chose pour le halal...
M'étonnerait d'ailleurs pas qu'il en soit de même en Europe...
Aliments permis, non permis!!! Ceux-là n'achètent pas les produits non identifiés religieux.
Moi j'aimerais qu'on me permette le choix de ni l'un ni l'autre, parce que je ne veux pas payer, même pas une fraction d'un sou pour le religieux. Aux communautés à payer pour voir leur sceau sur les produits, pas à l'ensemble des consommateurs...
Et même là, je préférerais la neutralité des produits... Le religieux aura sa liste d'épicerie et fera ce qu'il voudra sans qu'il faille que l'on impose au regard l'identification casher ou halal....
Ronron,
Tous vos produits sont karcher ?????
Est ce que vous savez ce que la certification coute en temps et en hommes.Le karcher c'est pas le halal ,c'est 100 fois plus strict car demandant beaucoup plus de controle et donc 100 fois plus cher.Je ne suis pas experte,loin de là,mais j'ai entendu dire que dans le karcher les ustensiles ,les produits,les aliments et tout ce qui s'ensuit est karcher.Donc si chez vous ,on mange karcher pour tout,ce qui m'etonnerait fort,ça doit vous couter bonbon.
Attention, karcher,comme vous l'orthographiez, c'est une marque de nettoyeur haute pression... Et attention encore, je n'ai pas écrit que tous les produits étaient casher... Et vous dites 100 fois plus cher pour le casher, vous voulez rigoler!!
Depuis,zarkozy,le mot karcher donne des boutons à tout le monde.
Des connaissances m ont expliqué tout le processus et cela n'a rien avoir avec le halal.Un véritable produit kacher(j'ai fait gaffe cette x ci) devrait couter ,s'il est effectué correctement,extrèmement cher,sinon s'en est pas.Peut etre un juifs qui passe par là pourrait nous en dire plus
Mince cacher et pas kacher .J'ai du mal à me départir du traumatisme du fameux karcher de sarko
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