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Pourquoi les intérêts bancaires sont une source d’injustice (1/2)

 kaznab
Jeudi 2 Mai 2019

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Un ramassis d'idées glanées dans la littérature des banques islamiques. L'action démagogue de l'auteur crève les yeux. Rien d'étonnant,il est conseil en finance islamique. Une finance sans base scientifique où le sentiment de peur de sombrer dans l'enfer est exploité à fond.
 Abd
Vendredi 3 Mai 2019

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Vous écrivez que « l’argent ne s’use pas » dans le sens qu’il ne coûte rien, mais c’est faux. Dans toutes sociétés, même dans une société islamique, il y a nécessairement de l’inflation (ou l’inverse) et vous n’achetez pas la même chose avec le même capital à un temps T et un à un temps T+1.
Prenez l’exemple de l’essence, vous pouvez avoir un prix affiché aujourd’hui à la pompe et revenir la semaine suivante et y trouver un prix différent, Si entre temps vous avez prêtez tout votre argent à quelqu’un qui vous rend la même somme entre ces deux moments vous n’aurez pas la même capacité d’achat.
Le fait que la valeur des choses évolue dans le temps (à la hausse ou à la baisse) induit que l’argent a un coût matériel et une évolution équivalente.
 kaznab
Samedi 4 Mai 2019

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Ce qu'il faut comprendre c'est qu'on ne prête pas l'argent en tant que produit intrinsèque. Il n'est que le symbole d'un pouvoir d'achat et c'est ce qu'on prête. Donc finalement on rend service comme on le fait quand met à la disposition de quelqu'un un bien de production ou de consommation moyennant rétribution. En fin de compte le prêt porte sur le pouvoir d'achat qui est l'objet de la transaction et non l'argent en lui même.
Bien évidemment aussi que la dévaluation et le risque ce sont des choses qui existent réellement quoiqu'en disent les chantres de la supercherie qu'on appelle finance islamique.