En Turquie, La tourmente serait avec le temps de plus en plus croissante. Le vérus s'est introduit s'éparpillant dans le corps des principes de la démocratie et surtout dans la laîcité. M. Erdogan est très lucide en isistant sur l'application stricte de la politique de réconciliation mettant les Turques dans le même pied d'égalité, droite, gauche et opposition. C'est la seule forme de justice sociale permettant aux gouvernants de faire évoluer le pays dans d'excellentes conditions. Mais, qui vous laisse travailler ? Les pro-laîcs, douteux et égoîstes, ne rêvent qu'à assurer le succès de leurs objectifs à savoir la suppréssion de tout ce qui est islapique, n'ayant en vue que leur divinité kamaliste. Les hommes de bonne volonté que le peuple approuve se trouvent entre le marteau et l'enclume. D'un côté, l'armée au lieu d'être au service du gouvernement, prèfère, brandant l'épée d'Amocles, le surveiller pour entraver toute démarche qui n'est pas de ses convenances. Cet organisme militaire est à la tête de toute crise politique. De l'autre, les pro-laîc, piétinant les principes de la laîcié qu'ils croient défendre, n'aspirent à l'instar de la plupart des occidentaux qu'à une société libertine du plaisir où la liberté sexuelle serait le seul souci. C'est sûr, la justice finira toujours par triompher. Allah est Grand !