Lundi, plus d'un million de personnes ont défilé en Europe à l'occasion du 1er mai, dont de nombreux travailleurs et des syndicalistes qui manifestaient pour protester contre le chômage, les bas salaires et les mauvaises conditions de travail.
En Russie, 1,5 million de personnes ont participé à des défilés. A Moscou notamment, 25.000 personnes se sont rassemblées près de la mairie, dans la rue Tverskaïa, pour entendre les discours de syndicalistes, du maire, avant d'assister à un concert, selon l'agence de presse ITAR-Tass. Parallèlement, des communistes ont défilé d'une place où trône une statue de Lénine jusqu'au théâtre du Bolchoï, où se dresse une statue de Karl Marx, selon la chaîne de télévision NTV.
En Allemagne, les syndicats ont protesté contre l'impact de la mondialisation, accusant les entreprises de sacrifier les emplois pour faire des profits rapides, et exhortant le gouvernement à fixer un salaire minimum.
A Istanbul, la police turque a arrêté une quarantaine de manifestants qui criaient des slogans contre le Fonds monétaire international (FMI) et les Etats-Unis. Les protestataires, membres du Parti communiste turc, du Parti des travailleurs et d'un groupe qui se nomme lui-même "Lutte", n'avaient pas obtenu d'autorisation pour défiler.
Au Belarus, quelque 2.000 opposants au pouvoir se sont rassemblés à Minsk, pour protester contre l'incarcération d'Alexandre Milinkevitch, principal responsable de l'opposition.
En Bosnie, des chômeurs ont manifesté à Sarajevo pour demander de nouvelles élections et la démission du gouvernement qui, selon eux, n'agit pas assez pour faire baisser le taux de chômage et rapprocher la Bosnie de l'Union européenne.
En Autriche, 120.000 membres du Parti social démocrate, actuellement dans l'opposition, ont participé au traditionnel défilé du 1er mai à Vienne, alors qu'une cinquantaine de manifestations ont été organisées en Espagne.
A Paris, le président du Front national Jean-Marie Le Pen a affiché son optimisme lors de son traditionnel discours du 1er mai devant environ 3.000 sympathisants. Le vieux leader de l'extrême droite, concurrencé par Nicolas Sarkozy et Philippe de Villiers, a renouvelé son appel à la constitution d'une "union patriotique" pour la présidentielle et les législatives de l'an prochain.
En Russie, 1,5 million de personnes ont participé à des défilés. A Moscou notamment, 25.000 personnes se sont rassemblées près de la mairie, dans la rue Tverskaïa, pour entendre les discours de syndicalistes, du maire, avant d'assister à un concert, selon l'agence de presse ITAR-Tass. Parallèlement, des communistes ont défilé d'une place où trône une statue de Lénine jusqu'au théâtre du Bolchoï, où se dresse une statue de Karl Marx, selon la chaîne de télévision NTV.
En Allemagne, les syndicats ont protesté contre l'impact de la mondialisation, accusant les entreprises de sacrifier les emplois pour faire des profits rapides, et exhortant le gouvernement à fixer un salaire minimum.
A Istanbul, la police turque a arrêté une quarantaine de manifestants qui criaient des slogans contre le Fonds monétaire international (FMI) et les Etats-Unis. Les protestataires, membres du Parti communiste turc, du Parti des travailleurs et d'un groupe qui se nomme lui-même "Lutte", n'avaient pas obtenu d'autorisation pour défiler.
Au Belarus, quelque 2.000 opposants au pouvoir se sont rassemblés à Minsk, pour protester contre l'incarcération d'Alexandre Milinkevitch, principal responsable de l'opposition.
En Bosnie, des chômeurs ont manifesté à Sarajevo pour demander de nouvelles élections et la démission du gouvernement qui, selon eux, n'agit pas assez pour faire baisser le taux de chômage et rapprocher la Bosnie de l'Union européenne.
En Autriche, 120.000 membres du Parti social démocrate, actuellement dans l'opposition, ont participé au traditionnel défilé du 1er mai à Vienne, alors qu'une cinquantaine de manifestations ont été organisées en Espagne.
A Paris, le président du Front national Jean-Marie Le Pen a affiché son optimisme lors de son traditionnel discours du 1er mai devant environ 3.000 sympathisants. Le vieux leader de l'extrême droite, concurrencé par Nicolas Sarkozy et Philippe de Villiers, a renouvelé son appel à la constitution d'une "union patriotique" pour la présidentielle et les législatives de l'an prochain.