Lire aussi : Aïd al-Adha : un guide pratique pour améliorer les conditions d'organisation de la fête
Prérequis : respect de la réglementation en matière de sécurité sanitaire des aliments, de protection des animaux et de l’environnement.
1. Une préparation anticipée, au moins un an à l’avance par un porteur de projet déterminé et rigoureux, en capacité de déposer un projet viable sur les plans financier et technique.
2. Une préparation impliquant l’ensemble des acteurs : responsables musulmans locaux, associations, CRCM, collectivités territoriales, entrepreneurs, professionnels de l’élevage, transporteurs, responsables de marché et de centres de rassemblements, abatteurs et préfectures.
3. Une communication adaptée des porteurs de projets à destination des riverains.
4. Un suivi de la préfecture auprès des différents acteurs participant au bon déroulement de la fête.
5. Une optimisation des flux au niveau régional et interrégional afin de saturer les abattoirs pérennes existant avant d’envisager le montage d’un abattoir temporaire.
6. La désignation d’un interlocuteur unique (physique ou moral) pour l’administration, qui assure le portage du projet d’abattoir temporaire : groupement d’éleveurs, entrepreneur privé, association.
7. L’accompagnement des collectivités territoriales dans l’organisation et la mise en œuvre.
8. Un accueil de la clientèle (et du public accompagnant) garantissant un déroulement fluide de l’abattage en toute sécurité.
9. Une politique de sanctions fermes contre l’abattage clandestin ou le non-respect de la législation.
10. Une connaissance pointue des procédures par les porteurs de projets d’abattoirs temporaires et une rigueur dans l’accomplissement de l’ensemble des tâches administratives et logistiques indiquées dans le guide.
Prérequis : respect de la réglementation en matière de sécurité sanitaire des aliments, de protection des animaux et de l’environnement.
1. Une préparation anticipée, au moins un an à l’avance par un porteur de projet déterminé et rigoureux, en capacité de déposer un projet viable sur les plans financier et technique.
2. Une préparation impliquant l’ensemble des acteurs : responsables musulmans locaux, associations, CRCM, collectivités territoriales, entrepreneurs, professionnels de l’élevage, transporteurs, responsables de marché et de centres de rassemblements, abatteurs et préfectures.
3. Une communication adaptée des porteurs de projets à destination des riverains.
4. Un suivi de la préfecture auprès des différents acteurs participant au bon déroulement de la fête.
5. Une optimisation des flux au niveau régional et interrégional afin de saturer les abattoirs pérennes existant avant d’envisager le montage d’un abattoir temporaire.
6. La désignation d’un interlocuteur unique (physique ou moral) pour l’administration, qui assure le portage du projet d’abattoir temporaire : groupement d’éleveurs, entrepreneur privé, association.
7. L’accompagnement des collectivités territoriales dans l’organisation et la mise en œuvre.
8. Un accueil de la clientèle (et du public accompagnant) garantissant un déroulement fluide de l’abattage en toute sécurité.
9. Une politique de sanctions fermes contre l’abattage clandestin ou le non-respect de la législation.
10. Une connaissance pointue des procédures par les porteurs de projets d’abattoirs temporaires et une rigueur dans l’accomplissement de l’ensemble des tâches administratives et logistiques indiquées dans le guide.
Lire aussi :
Aïd al-Adha : un guide pratique pour améliorer les conditions d'organisation de la fête
À l’instance de dialogue avec l’islam, État et musulmans s’engagent contre la radicalisation
Aïd al-Adha 2015 : combien d'abattoirs agréés cette année en France ?
Aïd el-Kébir 2012 : à la recherche des abattoirs, couacs des préfectures
Abattoirs mobiles : « LA » solution ?
Aïd al-Adha : un guide pratique pour améliorer les conditions d'organisation de la fête
À l’instance de dialogue avec l’islam, État et musulmans s’engagent contre la radicalisation
Aïd al-Adha 2015 : combien d'abattoirs agréés cette année en France ?
Aïd el-Kébir 2012 : à la recherche des abattoirs, couacs des préfectures
Abattoirs mobiles : « LA » solution ?