Le premier quotidien espagnol, El Pais, juge dimanche "inévitable" la démission du Premier ministre français Dominique de Villepin, ébranlé par l'affaire Clearstream qui secoue les plus hautes sphères de l'Etat en France.
"La démission du chef du gouvernement semble inévitable", estime El Pais (centre-gauche), dans un article intitulé "Le Watergate français".
M. de Villepin "est dans l'oeil du cyclone, accusé d'avoir ordonné aux services secrets de mettre en cause son rival Nicolas Sarkozy", le ministre français de l'Intérieur, écrit le journal de centre-gauche.
"La lente implosion du second mandat de Jacques Chirac met en scène une nouvelle crise que certain baptisent déjà le 'Watergate français'", commente encore le correspondant du journal espagnol à Paris.
El Pais revient sur les révélations du journal français Le Monde, dont il est actionnaire et partenaire rédactionnel, qui a publié des extraits d'un procès verbal du général français Philippe Rondot, spécialiste du renseignement, mettant en cause M. de Villepin.
Le général Rondot a démenti samedi avoir confié aux juges chargés de l'affaire qu'il avait été mandaté par M. de Villepin pour enquêter sur M. Sarkozy, selon des médias français.
"La démission du chef du gouvernement semble inévitable", estime El Pais (centre-gauche), dans un article intitulé "Le Watergate français".
M. de Villepin "est dans l'oeil du cyclone, accusé d'avoir ordonné aux services secrets de mettre en cause son rival Nicolas Sarkozy", le ministre français de l'Intérieur, écrit le journal de centre-gauche.
"La lente implosion du second mandat de Jacques Chirac met en scène une nouvelle crise que certain baptisent déjà le 'Watergate français'", commente encore le correspondant du journal espagnol à Paris.
El Pais revient sur les révélations du journal français Le Monde, dont il est actionnaire et partenaire rédactionnel, qui a publié des extraits d'un procès verbal du général français Philippe Rondot, spécialiste du renseignement, mettant en cause M. de Villepin.
Le général Rondot a démenti samedi avoir confié aux juges chargés de l'affaire qu'il avait été mandaté par M. de Villepin pour enquêter sur M. Sarkozy, selon des médias français.