Le non-lieu dans l’affaire de l’attaque de la mosquée de Bayonne en octobre 2019 est définitivement acté. L’ordonnance de non-lieu a été signée mardi 27 avril par la vice-présidente de la cour d’appel de Pau, mettant ainsi fin à toute perspective de procès pour les victimes, rapporte Sud Ouest.
Un réquisitoire de non-lieu avait déjà été rendu en mars par le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier, en raison du décès de l’auteur de l’attaque, Claude Sinké. en février 2020. L’enquête n’avait, en outre, révélé aucune complicité avant et pendant l'attaque.
L'individu de 84 ans, un ex-candidat du Front national qui s'était persuadé que l'incendie de Notre-Dame de Paris était d'origine criminelle, avait tenté d'incendier le lieu de culte musulman avant de blesser par balles deux fidèles de 74 et 78 ans. Il était poursuivi pour « tentatives d'assassinat, dégradation et destruction aggravées, violence avec arme sur personne dépositaire de l’autorité publique et violence avec arme » avant que son décès ne survienne dans le centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan, où il était incarcéré avant d'être jugé devant la cour d'assises. Le caractère terroriste de l'affaire, souhaité par les victimes, n'avait pas été retenu pour cette affaire.
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A Bayonne, une marche de solidarité aux victimes de l'attaque contre la mosquée
Un réquisitoire de non-lieu avait déjà été rendu en mars par le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier, en raison du décès de l’auteur de l’attaque, Claude Sinké. en février 2020. L’enquête n’avait, en outre, révélé aucune complicité avant et pendant l'attaque.
L'individu de 84 ans, un ex-candidat du Front national qui s'était persuadé que l'incendie de Notre-Dame de Paris était d'origine criminelle, avait tenté d'incendier le lieu de culte musulman avant de blesser par balles deux fidèles de 74 et 78 ans. Il était poursuivi pour « tentatives d'assassinat, dégradation et destruction aggravées, violence avec arme sur personne dépositaire de l’autorité publique et violence avec arme » avant que son décès ne survienne dans le centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan, où il était incarcéré avant d'être jugé devant la cour d'assises. Le caractère terroriste de l'affaire, souhaité par les victimes, n'avait pas été retenu pour cette affaire.
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