La Cour suprême a validé, mardi 26 juin, le décret discriminatoire interdisant l'entrée de ressortissants de six pays aux États-Unis : l'Iran, la Libye, la Somalie, la Syrie et le Yémen ainsi que la Corée du Nord.
Le décret, aussi appelé « Muslim Ban », a été entériné par les juges de la plus haute juridiction américaine à cinq voix pour et quatre contre.
Si l'adoption définitive du décret coûte cher à l'image des États-Unis,
Donald Trump n'en a que faire. Le président a salué « une fantastique victoire » tandis que les défenseurs des droits civiques ont fustigé ce qu'ils être une énorme erreur pour les Etats-Unis.
Lire aussi :
« Not Trump’s Iftar », le pied-de-nez des musulmans américains face à l'iftar de Donald Trump
Le #MuslimBan version XVIe siècle
Le décret, aussi appelé « Muslim Ban », a été entériné par les juges de la plus haute juridiction américaine à cinq voix pour et quatre contre.
Si l'adoption définitive du décret coûte cher à l'image des États-Unis,
Donald Trump n'en a que faire. Le président a salué « une fantastique victoire » tandis que les défenseurs des droits civiques ont fustigé ce qu'ils être une énorme erreur pour les Etats-Unis.
Lire aussi :
« Not Trump’s Iftar », le pied-de-nez des musulmans américains face à l'iftar de Donald Trump
Le #MuslimBan version XVIe siècle