S'agissant de l'affaire Clearstream, le président Jacques Chirac "dément catégoriquement avoir demandé la moindre enquête visant des personnalités politiques dont le nom a pu être mentionné", selon un communiqué de l'Elysée publié vendredi.
"Depuis son entrée en fonction, le président de la République a agi pour la moralisation des marchés internationaux et pour la lutte contre les réseaux mafieux. Il a toujours donné à ses gouvernements successifs des orientations dans ce sens", précise le communiqué.
Le général Philippe Rondot a affirmé aux juges chargés de l'affaire Clearstream qu'il avait été chargé dès janvier 2004 par le Premier ministre Dominique de Villepin et sur "instructions" du président Jacques Chirac, d'une enquête sur les soupçons de corruption pesant sur Nicolas Sarkozy, selon "Le Monde" daté de samedi.
"Depuis son entrée en fonction, le président de la République a agi pour la moralisation des marchés internationaux et pour la lutte contre les réseaux mafieux. Il a toujours donné à ses gouvernements successifs des orientations dans ce sens", précise le communiqué.
Le général Philippe Rondot a affirmé aux juges chargés de l'affaire Clearstream qu'il avait été chargé dès janvier 2004 par le Premier ministre Dominique de Villepin et sur "instructions" du président Jacques Chirac, d'une enquête sur les soupçons de corruption pesant sur Nicolas Sarkozy, selon "Le Monde" daté de samedi.