Le groupe socialiste de l'Assemblée nationale prévoit, dans le cadre de l'affaire Clearstream, de déposer une motion de censure contre le gouvernement de Dominique de Villepin. "Le principe d'une motion de censure est acquis. Nous en choisirons le moment", a déclaré le président du groupe PS, Jean-Marc Ayrault.
"Nous demandons au gouvernement de s'expliquer et à la majorité de prendre toutes ses responsabilités", a-t-il dit à l'issue de la réunion hebdomadaire de son groupe. "Le Premier ministre a-t-il toujours la confiance de sa majorité ?. Il pourrait tout à fait faire une déclaration de politique générale qui porterait sur le fonctionnement de l'Etat et qui se traduirait par l'engagement de sa responsabilité", a-t-il poursuivi.
"Et là on verrait s'il a bien le soutien de sa majorité", a ajouté le président du groupe socialiste. "Il y a une autre option, qui est la nôtre : c'est celle de déposer une motion de censure pour voir qui soutient le Premier ministre, qui soutient le gouvernement", a dit Jean-Marc Ayrault.
"Au-delà de ça, je pense que l'image de la France est profondément atteinte, que la manière dont l'Etat est dirigé révèle une crise profonde de nos institutions et de notre démocratie et qu'il est grand temps que les choses changent", a-t-il dit.
"Nous demandons au gouvernement de s'expliquer et à la majorité de prendre toutes ses responsabilités", a-t-il dit à l'issue de la réunion hebdomadaire de son groupe. "Le Premier ministre a-t-il toujours la confiance de sa majorité ?. Il pourrait tout à fait faire une déclaration de politique générale qui porterait sur le fonctionnement de l'Etat et qui se traduirait par l'engagement de sa responsabilité", a-t-il poursuivi.
"Et là on verrait s'il a bien le soutien de sa majorité", a ajouté le président du groupe socialiste. "Il y a une autre option, qui est la nôtre : c'est celle de déposer une motion de censure pour voir qui soutient le Premier ministre, qui soutient le gouvernement", a dit Jean-Marc Ayrault.
"Au-delà de ça, je pense que l'image de la France est profondément atteinte, que la manière dont l'Etat est dirigé révèle une crise profonde de nos institutions et de notre démocratie et qu'il est grand temps que les choses changent", a-t-il dit.