Permettez-moi, dans un esprit de dialogue ouvert et de concertation constructive, de réagir à la réponse que vous avez donnée dans La Provence du 14 janvier 2006 à la question : « La promesse d’une mosquée ? ». J’évoquerai également l’article paru dans ce même journal, le 4 octobre 2005 où vous précisiez votre position sur cette question. Nous avions alors renoncé à intervenir pour ne pas faire d’un point aussi fondamental pour les musulmans d’Aix-en-Provence un objet de polémique. Mais ce que vous affirmez dans l’interview du 14 janvier est pour nous inacceptable et ne peut être laissé sans réponse.