Les vaccins
Il faut le savoir, la vaccination est la première chose que vérifient les Saoudiens à la descente d’avion. Pour pouvoir effectuer son hadj, un seul vaccin obligatoire pour le pèlerin venant de France. C’est celui contre la méningite à méningocoque A, C, Y, W 135, de préférence conjugué.
« Le vaccin méningococcique C conjugué ou le vaccin méningococcique A+C ne conviennent en effet pas et ne permettent pas l’obtention du visa pour l’Arabie Saoudite », selon les précisions que nous a apporté le Dr Catherine Goujon, qui travaille dans le service des vaccinations internationales et de conseils aux voyageurs de l’Institut Pasteur.
Autres vaccins, non obligatoires ceux-là d’un point de vue administratif, mais « pas moins importants », précise le Dr Goujon, « ceux qui sont inclus dans le calendrier vaccinal en vigueur en France, plus des vaccins contre l’hépatite A et selon les circonstances, contre la fièvre typhoïde, l’hépatite B et la rage », ces derniers étant essentiellement prescrits pour les enfants à partir de 2 ans, pour les séjours longs ou encore pour des séjours dans des conditions précaires.
« Le vaccin méningococcique C conjugué ou le vaccin méningococcique A+C ne conviennent en effet pas et ne permettent pas l’obtention du visa pour l’Arabie Saoudite », selon les précisions que nous a apporté le Dr Catherine Goujon, qui travaille dans le service des vaccinations internationales et de conseils aux voyageurs de l’Institut Pasteur.
Autres vaccins, non obligatoires ceux-là d’un point de vue administratif, mais « pas moins importants », précise le Dr Goujon, « ceux qui sont inclus dans le calendrier vaccinal en vigueur en France, plus des vaccins contre l’hépatite A et selon les circonstances, contre la fièvre typhoïde, l’hépatite B et la rage », ces derniers étant essentiellement prescrits pour les enfants à partir de 2 ans, pour les séjours longs ou encore pour des séjours dans des conditions précaires.
La trousse médicale
Une fois vacciné, que glisser dans sa trousse médicale ? S’il n’existe « pas de trousse de pharmacie type », comme le souligne le Dr Goujon, on peut tout de même conseiller certains indispensables.
Parmi eux, « un produit répulsif contre les moustiques, un médicament paracétamol contre la douleur et la fièvre, un antidiarrhéique, un médicament contre le mal des transports, un thermomètre, une crème contre les brûlures, un désinfectant, un collyre en monodose, des pansements, une bande de contention et un tube de crème solaire avec un indice de protection entre 30 et 50 ».
Bien entendu, les personnes atteintes d’une maladie chronique (diabète, problèmes cardiaques, etc.) devront « emporter les médicaments qu’elles prennent habituellement en quantité suffisante, ainsi qu’un compte rendu médical, si possible traduit en anglais ou mieux en arabe, mentionnant les traitements en cours ».
Parmi eux, « un produit répulsif contre les moustiques, un médicament paracétamol contre la douleur et la fièvre, un antidiarrhéique, un médicament contre le mal des transports, un thermomètre, une crème contre les brûlures, un désinfectant, un collyre en monodose, des pansements, une bande de contention et un tube de crème solaire avec un indice de protection entre 30 et 50 ».
Bien entendu, les personnes atteintes d’une maladie chronique (diabète, problèmes cardiaques, etc.) devront « emporter les médicaments qu’elles prennent habituellement en quantité suffisante, ainsi qu’un compte rendu médical, si possible traduit en anglais ou mieux en arabe, mentionnant les traitements en cours ».
La prévention
Une fois sur place, la vigilance est de mise s’agissant tant de la propreté que de la nourriture. Ainsi, il est indispensable de se laver très régulièrement les mains, d’éviter les glaçons, de ne boire qu’à partir de contenant capsulés et de manger de préférence chaud et bien cuit.
Attendez-vous par ailleurs à marcher. Les distances sont grandes, dans la mosquée, entre votre hôtel et la mosquée ou ses alentours, pendant les rituels du pèlerinage. Car si les plus faibles ou les plus âgés sont souvent transportés en fauteuil roulant, voire en taxi ou en car, les autres pèlerins marchent. Et ils marchent beaucoup.
Il leur faudra donc veiller à bien se reposer entre chaque étape, à bien s’hydrater, à se protéger du soleil avec un chapeau, à ne pas marcher pieds nus et à porter des vêtements légers et amples.
Attendez-vous par ailleurs à marcher. Les distances sont grandes, dans la mosquée, entre votre hôtel et la mosquée ou ses alentours, pendant les rituels du pèlerinage. Car si les plus faibles ou les plus âgés sont souvent transportés en fauteuil roulant, voire en taxi ou en car, les autres pèlerins marchent. Et ils marchent beaucoup.
Il leur faudra donc veiller à bien se reposer entre chaque étape, à bien s’hydrater, à se protéger du soleil avec un chapeau, à ne pas marcher pieds nus et à porter des vêtements légers et amples.
Le retour
Et si la vigilance sanitaire est de mise avant et pendant le pèlerinage, elle est également impérative au retour de La Mecque. Parmi ses conseils, l’association SOS Pèlerin recommande de prendre contact avec son médecin traitant « en cas de symptôme grippal dans les 7 jours suivant le retour ». Fièvre, maux de tête, raideur de la nuque, nausées sont aussi autant de symptômes qui devront pousser le pèlerin à consulter.
Pas de panique néanmoins ! Si ces conseils sanitaires sont stricts, ils deviennent automatiques une fois sur place. Et dans l’écrasante majorité des cas, tout se passe pour le mieux.
Pas de panique néanmoins ! Si ces conseils sanitaires sont stricts, ils deviennent automatiques une fois sur place. Et dans l’écrasante majorité des cas, tout se passe pour le mieux.