Philippe de Villiers, qui dénonce dans un livre "l'islamisation" de la France, a jugé dimanche que "l'islam n'est pas compatible avec la République".
"Je pense qu'il y a des musulmans modérés, c'est même l'immense majorité. Je ne crois pas qu'il y ait un islam modéré", a dit M. de Villiers, invité du Grand rendez-vous Europe1-TV5Monde-Le Parisien/Aujourd'hui en France.
"Je crois, a-t-il ajouté, que l'islam n'est pas compatible avec la République", en raison des "trois principes (de l'islam) : l'ouma, la charia, et enfin le djihad".
Le président du MPF, candidat à la présidentielle de 2007, est longuement revenu sur son livre intitulé "Les Mosquées de Roissy", dans lequel il affirme que des islamistes ont infiltré les différents services des grands aéroports et menacent la sécurité du transport aérien.
Philippe de Villiers a assuré que les rapports sur lesquels il s'appuie sont "absolument authentiques". Il a "mis en garde" le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy contre une volonté "d'insinuer le doute" sur ces rapports.
Il a assuré n'avoir "cité que 10% des informations" dont il dispose.
M. de Villiers a ironisé sur la visite, jeudi dernier, de Nicolas Sarkozy et Dominique Perben (Transports) sur la sécurité à Roissy, en parlant de "visite contre-feu ou visite coupe-feu".
"La présence islamiste n'est pas marginale mais réelle, profonde et dangereuse", a-t-il dit, en affirmant que son livre "gêne" le gouvernement.
Se présentant comme "le porte-parole des Français tranquilles", M. de Villiers, a demandé "trois choses" au gouvernement: une commission d'enquête parlementaire, la publication "intégrale de tous les rapports" sur ce sujet, un débat public en face à face avec Nicolas Sarkozy qui portera sur l'infiltration islamiste à Roissy".
Affirmant que le débat sur "l'islamisation du pays est tabou", il a notamment réclamé un moratoire sur la construction de mosquées.
"Je pense qu'il y a des musulmans modérés, c'est même l'immense majorité. Je ne crois pas qu'il y ait un islam modéré", a dit M. de Villiers, invité du Grand rendez-vous Europe1-TV5Monde-Le Parisien/Aujourd'hui en France.
"Je crois, a-t-il ajouté, que l'islam n'est pas compatible avec la République", en raison des "trois principes (de l'islam) : l'ouma, la charia, et enfin le djihad".
Le président du MPF, candidat à la présidentielle de 2007, est longuement revenu sur son livre intitulé "Les Mosquées de Roissy", dans lequel il affirme que des islamistes ont infiltré les différents services des grands aéroports et menacent la sécurité du transport aérien.
Philippe de Villiers a assuré que les rapports sur lesquels il s'appuie sont "absolument authentiques". Il a "mis en garde" le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy contre une volonté "d'insinuer le doute" sur ces rapports.
Il a assuré n'avoir "cité que 10% des informations" dont il dispose.
M. de Villiers a ironisé sur la visite, jeudi dernier, de Nicolas Sarkozy et Dominique Perben (Transports) sur la sécurité à Roissy, en parlant de "visite contre-feu ou visite coupe-feu".
"La présence islamiste n'est pas marginale mais réelle, profonde et dangereuse", a-t-il dit, en affirmant que son livre "gêne" le gouvernement.
Se présentant comme "le porte-parole des Français tranquilles", M. de Villiers, a demandé "trois choses" au gouvernement: une commission d'enquête parlementaire, la publication "intégrale de tous les rapports" sur ce sujet, un débat public en face à face avec Nicolas Sarkozy qui portera sur l'infiltration islamiste à Roissy".
Affirmant que le débat sur "l'islamisation du pays est tabou", il a notamment réclamé un moratoire sur la construction de mosquées.