Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national (ex-FN) © CC BY-SA 2.0/Rémi Noyon
Le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) a été dissous fin 2020 mais l’action en justice que l’association avait lancé contre Marine Le Pen en 2019 ne s’est pas pour autant éteinte.
Le procès de la présidente du Rassemblement national pour ses propos attaquant le CCIF devait se tenir mardi 29 mars mais a été reporté, rapporte Le Monde, après la période électorale, « pour une bonne administration de la justice » et afin d’assurer « la sérénité des débats ».
Peu après les attentats contre deux mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, Marine Le Pen avait accusé le CCIF de « collectif de fondamentalistes islamistes qui cherche à empêcher toute critique du fondamentalisme islamiste, en la qualifiant d’islamophobe ».
David Dassa-Le Deist, l’avocat de Marine Le Pen, a demandé le renvoi d’une audience qui pourrait être « instrumentalisée à dix jours du premier tour » de l’élection présidentielle.. Une demande à laquelle la 17e chambre du tribunal judiciaire de Paris a accédé en reporté le procès au 6 octobre.
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