Le mystère du message codé dissimulé dans le verdict du procès en plagiat concernant le best-seller planétaire Da Vinci Code a été percé, a révélé le Guardian vendredi.
La réponse est: "Jackie Fisher, qui es-tu ? Cuirassée" (Jackie Fisher, who are you? Dreadnougt), a découvert Dan Tench, un avocat collaborateur du journal, qui a indiqué qu'il s'agissait d'une référence à un amiral de la Royal Navy.
"Bravo, vous avez trouvé ! Vous pouvez vous vanter d'avoir décodé le message le premier", lui a répondu le juge Peter Smith, un passionné de marine nationale, en soulignant qu'il était "le premier" à avoir percé le mystère. Le mystérieux message avait été dissimulé par le juge dans les 71 pages du verdict du procès Da Vinci après avoir été codé selon une formule mathématique dite "séquence de Fibonacci", qui occupe une place importante dans le best-seller.
Pour mettre les esprits curieux sur la piste, le juge avait formé l'expression "Smithy Code" allusion à son nom et au titre du livre à l'aide de lettres en italique placées dans les sept premiers paragraphes de son verdict. La plaisanterie de ce magistrat de 54 ans semble être une première dans l'histoire judiciaire. Pour justifier son acte, le juge avait estimé que s'il "ne peux pas commenter le jugement, (il ne voyait ) pas pourquoi rendre un jugement ne pourrait pas être aussi l'occasion de s'amuser."
Dans son jugement, il avait estimé que le "Da Vinci Code" n'était pas un plagiat.
La réponse est: "Jackie Fisher, qui es-tu ? Cuirassée" (Jackie Fisher, who are you? Dreadnougt), a découvert Dan Tench, un avocat collaborateur du journal, qui a indiqué qu'il s'agissait d'une référence à un amiral de la Royal Navy.
"Bravo, vous avez trouvé ! Vous pouvez vous vanter d'avoir décodé le message le premier", lui a répondu le juge Peter Smith, un passionné de marine nationale, en soulignant qu'il était "le premier" à avoir percé le mystère. Le mystérieux message avait été dissimulé par le juge dans les 71 pages du verdict du procès Da Vinci après avoir été codé selon une formule mathématique dite "séquence de Fibonacci", qui occupe une place importante dans le best-seller.
Pour mettre les esprits curieux sur la piste, le juge avait formé l'expression "Smithy Code" allusion à son nom et au titre du livre à l'aide de lettres en italique placées dans les sept premiers paragraphes de son verdict. La plaisanterie de ce magistrat de 54 ans semble être une première dans l'histoire judiciaire. Pour justifier son acte, le juge avait estimé que s'il "ne peux pas commenter le jugement, (il ne voyait ) pas pourquoi rendre un jugement ne pourrait pas être aussi l'occasion de s'amuser."
Dans son jugement, il avait estimé que le "Da Vinci Code" n'était pas un plagiat.