Trafic
"A la suite des préavis des syndicats CGT, FO, SUD et UNSA pour la journée du 19 novembre, la RATP prévoit un trafic perturbé sur l’ensemble de ses réseaux", peut-on lire sur la page Internet que la RATP consacre à l'information trafic.
Selon le Centre national d'information routière (CNIR), 240 kilomètres de bouchons étaient observés ce lundi matin 19 novembre sur les routes d'Ile-de-France, soit 51% de plus que d'habitude.
A la SNCF, l'on annonce la circulation de 300 TGV sur 650, de 76 trains Corail sur 300, de 3 Thalys sur 4, et d'un TER sur deux. Sur le réseau Transilien, un train sur quatre devrait circuler, et seulement aux heures de pointe.
S'agissant des prévisions à la RATP, seule la ligne 14 circule normalement, ainsi que la ligne 1 avec deux rames sur trois. Sur les autres lignes de métro, une rame sur 5 est à prévoir. Les trains RER A et B sont soit "très fortement perturbé" pour le premier, soit "non assuré" pour le deuxième. Par ailleurs, 40% des bus circulent.
Selon le Centre national d'information routière (CNIR), 240 kilomètres de bouchons étaient observés ce lundi matin 19 novembre sur les routes d'Ile-de-France, soit 51% de plus que d'habitude.
A la SNCF, l'on annonce la circulation de 300 TGV sur 650, de 76 trains Corail sur 300, de 3 Thalys sur 4, et d'un TER sur deux. Sur le réseau Transilien, un train sur quatre devrait circuler, et seulement aux heures de pointe.
S'agissant des prévisions à la RATP, seule la ligne 14 circule normalement, ainsi que la ligne 1 avec deux rames sur trois. Sur les autres lignes de métro, une rame sur 5 est à prévoir. Les trains RER A et B sont soit "très fortement perturbé" pour le premier, soit "non assuré" pour le deuxième. Par ailleurs, 40% des bus circulent.
Négociations
Hier dimanche 18 novembre, un communiqué intersyndical précisait que les syndicats CGT, FO et UNSA de la RATP étaient prêts à reprendre les négociations avec la direction, tout en maintenant leur appel à la grève.
"Considérant que le gouvernement ne fait plus de préalable, nos organisations syndicales sont disponibles pour la tenue d'une première réunion tripartite dès le 21 novembre 2007 afin d'aborder l'ensemble des revendications" , peut-on lire dans le communiqué commun.
A la SNCF, les syndicats CGT, SUD, UNSA, CFTC, CGC, FO ont quant à eux accepté les négociations pour mercredi, tout en appelant eux aussi à la grève. "Conformément aux termes de la lettre de la présidente Anne-Marie Idrac, la table ronde sur le projet de réforme du régime spécial de retraite SNCF se tiendra au siège de l'entreprise le mercredi 21 novembre 2007 à 15h", écrit la direction de la SNCF dans un communiqué.
"Il y aura un représentant de l'Etat s'il y a bien une dynamique de reprise du travail" a déclaré hier dimanche Xavier Bertrand, le ministre du Travail, invité du Grand Rendez-Vous.
"Si on veut sortir par le haut, l'issue c'est de se mettre autour d'une table", a ajouté M. Bertrand. "Il y a des choses qui bougent, qui se débloquent, pas assez vite à mon goût", a-t-il estimé, précisant qu'il fallait "un signe de bonne volonté, que ça aille dans le bon sens".
"Considérant que le gouvernement ne fait plus de préalable, nos organisations syndicales sont disponibles pour la tenue d'une première réunion tripartite dès le 21 novembre 2007 afin d'aborder l'ensemble des revendications" , peut-on lire dans le communiqué commun.
A la SNCF, les syndicats CGT, SUD, UNSA, CFTC, CGC, FO ont quant à eux accepté les négociations pour mercredi, tout en appelant eux aussi à la grève. "Conformément aux termes de la lettre de la présidente Anne-Marie Idrac, la table ronde sur le projet de réforme du régime spécial de retraite SNCF se tiendra au siège de l'entreprise le mercredi 21 novembre 2007 à 15h", écrit la direction de la SNCF dans un communiqué.
"Il y aura un représentant de l'Etat s'il y a bien une dynamique de reprise du travail" a déclaré hier dimanche Xavier Bertrand, le ministre du Travail, invité du Grand Rendez-Vous.
"Si on veut sortir par le haut, l'issue c'est de se mettre autour d'une table", a ajouté M. Bertrand. "Il y a des choses qui bougent, qui se débloquent, pas assez vite à mon goût", a-t-il estimé, précisant qu'il fallait "un signe de bonne volonté, que ça aille dans le bon sens".