Sur le vif
Le président du Front national, Jean-Marie Le Pen, a demandé jeudi le respect de toutes les croyances et pas seulement de celles des musulmans, dans le débat sur les caricatures du Prophète Mohamed (psb) dont il reconnaît le caractère "blessant".
"Les croyants ont droit au respect de leurs croyances, qu'ils soient musulmans, juifs ou chrétiens", a souligné M. Le Pen dans un communiqué.
"Si l'on condamne, à juste titre, de blessantes caricatures du Prophète des musulmans, à plus forte raison doit-on condamner les ignobles et permanentes caricatures du Dieu incarné des chrétiens", a-t-il ajouté.
Le président du FN regrette que le débat sur les caricatures de Mohamed mette avant tout aux prises "ceux qui ne croient en rien et prônent le droit absolu à la dérision de tous les fondements de la civilisation", et "ceux qui prônent le respect absolu des croyants, mais seulement quand il s'agit des musulmans".
"Les nécessaires limites de la liberté d'expression (...) ne peuvent être à sens unique", a-t-il affirmé.
"Les croyants ont droit au respect de leurs croyances, qu'ils soient musulmans, juifs ou chrétiens", a souligné M. Le Pen dans un communiqué.
"Si l'on condamne, à juste titre, de blessantes caricatures du Prophète des musulmans, à plus forte raison doit-on condamner les ignobles et permanentes caricatures du Dieu incarné des chrétiens", a-t-il ajouté.
Le président du FN regrette que le débat sur les caricatures de Mohamed mette avant tout aux prises "ceux qui ne croient en rien et prônent le droit absolu à la dérision de tous les fondements de la civilisation", et "ceux qui prônent le respect absolu des croyants, mais seulement quand il s'agit des musulmans".
"Les nécessaires limites de la liberté d'expression (...) ne peuvent être à sens unique", a-t-il affirmé.
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