Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur
"Dans un cas comme celui-ci, nous ne savons pas ce qui s'est passé exactement", a déclaré à la presse hier Michèle Alliot-Marie, estimant que "ce drame plaide donc pour un renforcement du maillage de vidéo-surveillance en France où nous sommes encore loin de celui existant en Grande-Bretagne".
"Ce qui s'est passé à Londres est l'illustration de l'utilité de ce système, c'est un moyen de protection important et efficace contre le terrorisme, le banditisme et les violences contre les personnes", a par ailleurs précisé la ministre, qui précise qu'"il n'est pas question de vouloir tout couvrir. La vie privée et les libertés individuelles doivent être protégées, mais dans un certain nombre de lieux, il faut pouvoir savoir ce qu'il s'y passe".
A Antibes, Michèle Alliot-Marie a aussi plaidé pour le maintien de la gratuiité des secours apportés aux personnes en dangers, que ce soit en mer ou en montagne.
"Lorsqu'il y a des vies en jeu, il est normal de garder un principe de gratuité. Cela n'empêchant pas, quand il y a des fautes avérées, que la responsabilité de ceux qui ont provoqué le déploiement de moyens de secours importants et mis en jeu la vie de ceux qui viennent les sauver, puisse être retenue" a-t-elle estimé.
"Ce qui s'est passé à Londres est l'illustration de l'utilité de ce système, c'est un moyen de protection important et efficace contre le terrorisme, le banditisme et les violences contre les personnes", a par ailleurs précisé la ministre, qui précise qu'"il n'est pas question de vouloir tout couvrir. La vie privée et les libertés individuelles doivent être protégées, mais dans un certain nombre de lieux, il faut pouvoir savoir ce qu'il s'y passe".
A Antibes, Michèle Alliot-Marie a aussi plaidé pour le maintien de la gratuiité des secours apportés aux personnes en dangers, que ce soit en mer ou en montagne.
"Lorsqu'il y a des vies en jeu, il est normal de garder un principe de gratuité. Cela n'empêchant pas, quand il y a des fautes avérées, que la responsabilité de ceux qui ont provoqué le déploiement de moyens de secours importants et mis en jeu la vie de ceux qui viennent les sauver, puisse être retenue" a-t-elle estimé.