Le ministre d'Etat algérien, Abdelaziz Belkhadem, représentant personnel du président Abdelaziz Bouteflika a déploré lundi la faiblesse de l'aide financière arabe à l'Autorité palestinienne qui fait face à une grave crise financière.
"Peu de pays ont versé la totalité ou une partie de leur contribution" à l'aide financière à l'Autorité palestinienne, alors qu'Israël a décidé des sanctions à la suite de la victoire du Hamas aux législatives du 25 janvier, a-t-il précisé à l'issue d'une réunion à Alger d'un comité de suivi des décisions du sommet arabe d'Alger de mars 2005.
M. Belkhadem a ajouté que l'Algérie était l'un des pays à s'être acquité en totalité de sa contribution.
Le gouvernement israélien d'Ehud Olmert a approuvé dimanche des sanctions économiques à l'encontre de l'Autorité palestinienne dominée par le mouvement Hamas.
Parmi les mesures décidées figure le gel du transfert mensuel de quelque 50 millions de dollars de fonds correspondant au remboursement par Israël des droits de douane et de TVA prélevés sur les produits destinés à la Cisjordanie et à la bande de Gaza.
Ces fonds représentent environ 30% du budget de l'Autorité palestinienne et permettent d'assurer notamment la paye de quelque 140.000 fonctionnaires, dont près de 60.000 policiers et membres des services de sécurité.
De son côté, le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, a dénoncé, lors d'une conférence de presse, les menaces de sanctions contre l'Autorité palestinienne à la suite de la victoire aux législatives du mouvement Hamas.
"C'est une nouveauté" dans le monde arabe, a estimé M. Moussa à propos de ces élections qui "se sont déroulées dans la démocratie et sous contrôle international".
Il a ajouté que les sanctions décidées par Israël contre l'Autorité palestinienne avec le soutien de pays occidentaux allaient produire de "graves développements" dans la région.
M. Belkhadem a, pour sa part, "félicité" l'Autorité palestinienne pour "le succès des élections législatives", appelant au "respect du choix du peuple palestinien".
"Peu de pays ont versé la totalité ou une partie de leur contribution" à l'aide financière à l'Autorité palestinienne, alors qu'Israël a décidé des sanctions à la suite de la victoire du Hamas aux législatives du 25 janvier, a-t-il précisé à l'issue d'une réunion à Alger d'un comité de suivi des décisions du sommet arabe d'Alger de mars 2005.
M. Belkhadem a ajouté que l'Algérie était l'un des pays à s'être acquité en totalité de sa contribution.
Le gouvernement israélien d'Ehud Olmert a approuvé dimanche des sanctions économiques à l'encontre de l'Autorité palestinienne dominée par le mouvement Hamas.
Parmi les mesures décidées figure le gel du transfert mensuel de quelque 50 millions de dollars de fonds correspondant au remboursement par Israël des droits de douane et de TVA prélevés sur les produits destinés à la Cisjordanie et à la bande de Gaza.
Ces fonds représentent environ 30% du budget de l'Autorité palestinienne et permettent d'assurer notamment la paye de quelque 140.000 fonctionnaires, dont près de 60.000 policiers et membres des services de sécurité.
De son côté, le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, a dénoncé, lors d'une conférence de presse, les menaces de sanctions contre l'Autorité palestinienne à la suite de la victoire aux législatives du mouvement Hamas.
"C'est une nouveauté" dans le monde arabe, a estimé M. Moussa à propos de ces élections qui "se sont déroulées dans la démocratie et sous contrôle international".
Il a ajouté que les sanctions décidées par Israël contre l'Autorité palestinienne avec le soutien de pays occidentaux allaient produire de "graves développements" dans la région.
M. Belkhadem a, pour sa part, "félicité" l'Autorité palestinienne pour "le succès des élections législatives", appelant au "respect du choix du peuple palestinien".