Sur le vif
Nicolas Sarkozy a intronisé jeudi soir Françoise de Panafieu comme candidate de l'UMP aux élections municipales de 2008 à Paris. Mme Panafieu est seule en lice après le retrait de son adversaire Claude Goasguen des primaires UMP.
Un millier de militants seulement était présent à la réunion publique. Le ministre de l’Intérieur a été accueilli par des "Nicolas président!", M. Sarkozy a dressé un bilan positif de ces primaires, conçues comme un laboratoire pour la présidentielle de 2007. "On vous disait que c'était impossible, vous l'avez fait", a lancé M. Sarkozy aux militants. "Hier, Paris était le symbole d'une défaite programmée avant l'heure. Aujourd'hui, Paris est pour l'UMP le symbole de la responsabilité, de l'unité et de la volonté."
Nicolas Sarkozy n’a pas oublié les trois candidats battus, Claude Goasguen, Pierre Lellouche et Jean Tiberi, venus montrer leur soutien à la candidate. Il a salué le "souci de l'unité" du premier, "l'innovation" du deuxième et la "dignité" du troisième. "Il y a une gagnante, il n'y a pas de perdant", a-t-il lancé.
"Que ce soit une femme qui conduise le combat dans la capitale de la France, c'est un beau signal, un signal de modernité", a-t-il dit M. Sarkozy à propos de Françoise de Panafieu.
"C'est désormais à toi que revient la tâche d'amplifier la dynamique créée. Tu en as le talent, tu en as la légitimité", a-t-il ajouté, soucieux de démentir les rumeurs sur le possible parachutage sur Paris d'un poids lourd de l'UMP après les élections de 2007.
Avant le discours de Nicolas Sarkozy, Françoise de Panafieu, nouvelle "chef de file de l'opposition municipale", a tenté de réchauffer l'ambiance en attaquant Bertrand Delanoë à l'aide d'une métaphore cinématographique. "De battre, le cœur de Paris s'est arrêté. La majorité actuelle en est responsable", a-t-elle lancé. "Si cette majorité a un César, c'est celui de la déception et de l'échec."
Concernant son projet, Françoise de Panafieu s'est montrée plus vague.
Un millier de militants seulement était présent à la réunion publique. Le ministre de l’Intérieur a été accueilli par des "Nicolas président!", M. Sarkozy a dressé un bilan positif de ces primaires, conçues comme un laboratoire pour la présidentielle de 2007. "On vous disait que c'était impossible, vous l'avez fait", a lancé M. Sarkozy aux militants. "Hier, Paris était le symbole d'une défaite programmée avant l'heure. Aujourd'hui, Paris est pour l'UMP le symbole de la responsabilité, de l'unité et de la volonté."
Nicolas Sarkozy n’a pas oublié les trois candidats battus, Claude Goasguen, Pierre Lellouche et Jean Tiberi, venus montrer leur soutien à la candidate. Il a salué le "souci de l'unité" du premier, "l'innovation" du deuxième et la "dignité" du troisième. "Il y a une gagnante, il n'y a pas de perdant", a-t-il lancé.
"Que ce soit une femme qui conduise le combat dans la capitale de la France, c'est un beau signal, un signal de modernité", a-t-il dit M. Sarkozy à propos de Françoise de Panafieu.
"C'est désormais à toi que revient la tâche d'amplifier la dynamique créée. Tu en as le talent, tu en as la légitimité", a-t-il ajouté, soucieux de démentir les rumeurs sur le possible parachutage sur Paris d'un poids lourd de l'UMP après les élections de 2007.
Avant le discours de Nicolas Sarkozy, Françoise de Panafieu, nouvelle "chef de file de l'opposition municipale", a tenté de réchauffer l'ambiance en attaquant Bertrand Delanoë à l'aide d'une métaphore cinématographique. "De battre, le cœur de Paris s'est arrêté. La majorité actuelle en est responsable", a-t-elle lancé. "Si cette majorité a un César, c'est celui de la déception et de l'échec."
Concernant son projet, Françoise de Panafieu s'est montrée plus vague.
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